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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 17:26

avion-casc-lett.jpg

 

 

Publié le 22/10/2010 dans le Républicain Lorrain  , rubrique "Insolite"

« Invité de haut vol

La rencontre élus-entreprises organisée chaque année par la communauté d’agglomération accueillera un invité de haut vol le 4 novembre prochain à 18 h 30 au centre de communication de smart Hambach. Le colonel Christian Velluz, directeur de vol et ancien leader de la patrouille de France animera une conférence débat sur le thème Leadership, management d’équipes et dépassement de soi. A l’issue, le grand prix d’honneur sera remis à une entreprise du bassin d’emploi. »

 

2 questions :

 

1/ Qui paye ? Le vice-président chargé du développement économique Céleste Lett qui voit là un bon moyen de tisser la toile de ses relations et de ses obligés ? Ou vous ?

2/ Combien est payé cet invité « de haut vol ? » car si on comprend bien, Christian Velluz est retraité

(« J'ai quitté l'armée de l'air en 1998 et j'ai fondé, avec quelques associés, Athos Aéronautique, une société de sous-traitance, revendue en 2000 (soit 2 ans plus tard ? ndlr) » http://www.varmatin.com/article/toulon/toulon-dans-les-coulisses-de-la-patrouille-de-france  ) 

et conférencier professionnel qui monnaye, on imagine cher, l’expérience acquise dans la fonction publique http://www.glamspeak.com/fiche.cfm/161716.htm

 

 

Allez ! Encore une question : où est le travail journalistique du RL dans cette simple retranscription du communiqué de la CASC ? Rassurez vous on le trouvera bien sûr lors du compte-rendu de cet évènement majeur !

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 13:18

SH 101029 amicale des maires

 

 

Comme le dit le Sarre Hebdo l’amicale des maires finance ne finance pas seulement des voyages

Dans le Saulnois,

A Metz, pour voir « le chantier » du Pompidou dont la note est salée !

A Dubrovnik ! On suppose pour visiter les marais salants

Dans le même genre on peut leur proposer d’autres voyages

 

Mais aussi pour financer la venue d’ « intervenants » extérieurs !

 

Et qui ont-ils financé ?

Pierre Méhaignerie, ancien ministre et député UMP

Christine Boutin, ancien ministre et député UMP

Xavier Bertrand, ancien ministre et premier secrétaire de l’UMP

 

 

Vous allez voir qu’ils vont bientôt réinventer la Gabelle pour financer la venue de Sarkozy ?

 

Pour l’instant ces petites sauteries entre amis  coutent annuellement 7200 € aux  Sarregueminois (0.30€/ habitant)

 

On voit bien que cette amicale est, entre autre, un de ces lieux de connivences et d’influence.  Céleste Lett ne s’y trompe pas qui n’a pas voulu céder cette présidence là à son ami Roth !

 

Et on se plaint que les politiques n’aient pas bonne réputation dans le public !

 

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 10:38

La mairie de Sarralbe a investit (grâce à des subventions ) dans une toute nouvelle chaufferie au bois déchiqueté. Comme quoi on peut défendre la planète et bénéficier de subventions. A Sarreguemines et à la CASC on demande des subventions pour balancer des millions de m3 de CO2 supplémentaires dans l’atmosphère et consommer des ressources fossiles !

 

 
Par la rédaction - 12.09.10 - Magazine Mat Environnement

 

du-bois-dont-on-fait-les-lett.jpg

 

 

Le bois-énergie est la première énergie renouvelable en France et dispose d’un fort potentiel lié à la ressource disponible et aux chaudières à bois de plus en plus perfectionnées. Suite aux réflexions du Grenelle de l’environnement, des objectifs ambitieux ont été fixés à l’horizon 2020 pour les énergies renouvelables dont la filière bois.
 

La consommation de bois-énergie en France est d’environ 40 millions de m3/an soit 9 millions de tonnes équivalent pétrole/an correspondant à 4 % des besoins énergétiques français. Ils sont utilisés pour chauffer les bâtiments collectifs et les habitations, en appoint à des énergies fossiles (fioul, gaz…) et pour produire de l’électricité (cogénération).
La production de chaleur, qui représente la moitié des consommations d’énergie en France, repose encore principalement sur les combustibles fossiles. Doté de 1 milliard d’euros pour la période 2009/2011, le Fonds chaleur contribue aux objectifs du paquet européen climat-énergie qui consistent à porter la part des énergies renouvelables à 23 % de la consommation énergétique nationale d’ici 2020.

Le Fonds chaleur

Le Fonds chaleur a pour objectif de financer les projets de production de chaleur à partir d’énergies renouvelables (biomasse, géothermie, solaire…), tout en garantissant un prix inférieur à celui de la chaleur produite à partir d’énergies conventionnelles. Il a également pour objectif de favoriser l’emploi et l’investissement dans ce secteur. Le Fonds chaleur devrait permettre la production supplémentaire de 5,5 millions de tep de chaleur renouvelable ou de récupération à l'horizon 2020. La gestion de ce fonds est confiée à l’Ademe qui encourage également, aux côtés de nombreux partenaires, le développement du chauffage domestique, collectif et industriels au bois via le programme Biomasse-Energie 2007-2010. Les réalisations de réseaux de chaleur (créations et extensions) seront alimentées pour au moins 50 % par des énergies renouvelables ou de la chaleur de récupération. La chaleur de récupération concernée est celle issue des UIOM, de process industriels ou de productions d'électricité ne bénéficiant pas de tarif d'achat régulé de l'électricité.

Les chaufferies modernes

Plus rien à voir avec les calorifères et autres chaudières à bois du passé, les développements technologiques font de l'énergie bois une énergie moderne. En effet, l'automatisation des installations a conduit à réduire les contraintes (alimentation et décendrage automatique, autonomie accrue, propreté autour de l'installation) ; à réguler la combustion (combustion complète, amélioration des rendements, réduction des rejets et des cendres) ; et à avoir une grande tolérance sur la qualité des combustibles : granulométrie variable, humidité assez importante, essence indifférente, ...
Leur conception intégrée en « kit » modulable les rend aisément extensibles et regroupe la totalité de l'installation : silo de stockage ; système d'extraction et de transfert vers la chaudière ; générateur de chaleur composé d'un brûleur (ou avant-foyer) et d'une chaudière ; automate de conduite et de surveillance ; système d'épuration des rejets gazeux et d'évacuation des cendres. L'ensemble de ces équipements est abrité dans un bâtiment (chaufferie) et l'énergie produite est distribuée via un réseau de distribution de chaleur (canalisations).

S’équiper d’une chaudière à bois

Anne Simon, Responsable Service Génie Climatique Ginger BEFS :

« Il est très important de mener une étude de faisabilité pour chaque projet. Tout doit être pris en compte : l’intérêt économique de l’énergie bois par rapport aux autres moyens de chauffage, les possibilités d’installation d’approvisionnement et de stockage. L’énergie bois est souvent utilisée avec une autre source d’énergie, gaz ou fioul en secours ou en complément. Il est aussi important de prendre en compte la ressource locale. C’est la disponibilité de la ressource en bois (plaquettes ou granulés…) qui crée la possibilité d’utiliser une chaudière bois. Il faut se renseigner auprès de l’Ademe, d’associations départementales et de l’ONF. Mais les fournisseurs se structurent aussi en fonction des besoins (ouverture de nouvelle plate-forme de fabrication de plaquettes de bois).
Concernant les installations à granulés, on ne peut faire que des installations moyennes car sinon cela devient trop coûteux, les granulés sont plus chers et actuellement rares pour des approvisionnements en gros volumes, la rentabilité est ainsi pénalisée. On utilise plus souvent des plaquettes forestières car cela permet de faire des installations de grande taille (pour les établissements collectifs par exemple…). Les grosses chaudières sont plus tolérantes aux différences de nature de bois. L’efficacité de la chaudière est aussi déterminée par la qualité du bois et son hygrométrie.
Point important, pour installer une chaudière à bois, il faut de la place. Il faut faire un coût global et une étude de rentabilité. Il faut en effet prendre en compte la partie logistique de déchargement et de stockage du bois, l’accessibilité pour le camion à la zone de stockage. On arrive à rentabiliser l’installation grâce aux subventions du Fonds chaleur. Subventions qui peuvent atteindre 50 % voire 70 % selon les cas.»

Disponibilités de bois forestiers

L'Ademe et le Ministère de l'agriculture, de l'alimentation et de la pêche viennent de diffuser deux études nationales de disponibilité de bois forestiers pour l'énergie, réalisées respectivement par IFN / Solagro / FCBA et Cemagref / IFN.
Les forêts, les peupleraies et les haies portent l'essentiel du gisement potentiel de bois énergie au niveau national. Dans ces ressources, la disponibilité moyenne annuelle en bois sur la période 2006-2020 s'élève à :
- 15,8 millions de tep/an de BIBE (bois industrie et bois énergie) - 71 millions de m3/an dont 10,3 exploitables (46,1 millions de m3/an) dans les conditions économiques actuelles et compte tenu des contraintes techniques de récolte ;
- et 3,3 millions de tep/an de MB (menus bois), (14,9 millions de m3/an) dont 1,6 exploitables (7,2 millions de m3/an).
Dans le contexte économique actuel, la disponibilité supplémentaire en bois pour l'énergie, c'est-à-dire en plus des consommations actuelles, s’établit sur la période 2006-2020 à :
- + 2,7 millions de tep/an en moyenne de BIBE (soit + 12 millions de m3/an) ;
- Auxquels s’ajoute un gisement potentiel de + 1,6 million de tep/an de MB (soit + 7,2 millions de m3 par an), ces derniers étant a priori plus difficiles à mobiliser que les précédents.
La disponibilité additionnelle en BIBE se situe pour l’essentiel en forêt (95 %), devant les haies (4 %) et les peupleraies (1 %). Ces deux derniers types de ressources constituent des gisements d’intérêt au niveau local. Les disponibilités supplémentaires sont majoritairement feuillues (85 %) et localisées en forêts privées (75 %).

www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=96&m=3&catid=23403


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24 octobre 2010 7 24 /10 /octobre /2010 17:18

priorites-lett-sarreguemines.gif

 

On ne veut pas faire référence  ici au nouveau changement de sens unique et provisoire de la Rue de France (si on voulait définitivement dissuader les gens de venir faire leurs courses en ville, on ne s’y prendrait pas autrement !)

 

Nous voulons parler de la gestion par Céleste Lett de son agenda et de ses priorités :

 

Samedi 16 Octobre : la manifestation unitaire pour la défense des retraites réunit à Sarreguemines entre 800 et 1200 manifestants. Une délégation demande à rencontrer le maire. Mais elle ne peut pas le rencontrer.

 

Selon le Sarre Hebdo, « celui-ci n’était pas loin, puisqu’il célébrait alors un mariage au rez-de-chaussée. Il nous dira 2 heures plus tard, alors qu’il sortait de la Mairie : s’ils m’avaient prévenu, je les aurais reçus et je leur aurais dit ce que je pense »

 

Le maire est donc sourd pour ne pas avoir entendu 1000 personnes qui se trouvaient de l’autre coté de la vitre à moins de 10 mètres ou est-il le seul Sarregueminois à ne pas avoir été informé de l’organisation de la manifestation ?- pour un premier magistrat, ça craint.

 

Nous penchons pour une autre hypothèse : selon nos sources il se faisait payer à manger  au St Walfrid par les représentants du BTP

 

Samedi 23 Octobre : manifestation de syndicalistes et politiques qui s’arrête devant la permanence du député, puis devant la mairie. Selon le RL,  « Céleste Lett a refusé de les voir. Contacté, (il) a expliqué n’avoir pas été sollicité au préalable, alors qu’il était prêt à recevoir une délégation »

 

Dans la même édition du RL on trouve en page Région trace de son emploi du temps ce jour là : l’élection « endemol de miss lorraine » ! et de citer notre édile : « le métier de maire est difficile mais heureusement il existe des compensations » en commentant : «  (il) buvait du petit lait entouré de quatre Miss France ».(et il récidive ! voir notre article d’il y a un an http://la-gauche-pour-sarreguemines.over-blog.com/article-36098830-6.html

 

On a les priorités et les centres d’intérêt qu’on peut ! Mais un élu du peuple cumulard devrait-il d’abord soutenir des miss en quête de paillettes ou des gens inquiets pour leur retraite et celle de leurs enfants ?

 

 

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 10:08

lett sarreguemines grand yaka

 

Commission des affaires sociales de l’assemblée nationale

Mercredi 20 octobre 2010

Séance de 9 heures 30 

Compte rendu n° 06

Présidence de M. Pierre Méhaignerie, Président

                                               

 

« Amendement n° AS 8 présenté par M. Céleste Lett

Après l’article 36

Insérer l’article suivant :

I.– Le code de la santé publique est ainsi modifié :

1° L’article L. 5125-1 est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Une officine peut, par un contrat écrit, confier la préparation de piluliers, en vue de leur fourniture conformément aux dispositions de l’article L. 5126-6-1, à un établissement pharmaceutique autorisé à fabriquer des médicaments. Cette activité de sous-traitance fait l’objet d’un rapport annuel transmis par le pharmacien responsable de l’établissement pharmaceutique au directeur général de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé. Cette activité est réalisée en conformité avec les bonnes pratiques mentionnées à l’article L. 5121-5. »

2° Après le huitième alinéa de l’article L. 5126-2, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Une pharmacie à usage intérieur d’un établissement de santé peut confier, par un contrat écrit, la préparation des piluliers à un établissement pharmaceutique autorisé à fabriquer des médicaments. Cette activité est réalisée en conformité avec les bonnes pratiques mentionnées à l’article L. 5121-5. »

II.– À l’article L. 162-17-1-1 du code de la sécurité sociale, après les mots : « conditionnements appropriés », il est inséré les mots : « ou unitaires, en cas de recours aux piluliers préparés par des établissements pharmaceutiques autorisés à fabriquer des médicaments, ».

 

 

………….Elle examine ensuite l’amendement AS 8 de M. Céleste Lett. 

M. Céleste Lett. Cet amendement vise à permettre aux pharmaciens de confier la fabrication de piluliers à une entreprise ou un établissement pharmaceutique sous-traitant. Voilà dix ans qu’une telle disposition est à l’œuvre en Allemagne, où elle a permis des économies, en réduisant le nombre d’hospitalisations dues au non-respect des prescriptions par les patients – dont le coût est évalué à 3 milliards d’euros par an –, en retardant de cinq à six mois l’entrée en maison de retraite, et en réduisant l’écart entre prescriptions et facturations, qui représente en moyenne 0,30 euro dans les établissements accueillant les personnes âgées dépendantes, soit un coût annuel de 60 millions d’euros.

Au-delà des inquiétudes qu’il peut susciter dans le monde de la pharmacie, c’est un excellent amendement puisqu’il entraînerait des économies.

M. Michel Heinrich. Il me paraît plutôt dangereux, parce qu’il dénature complètement l’acte pharmaceutique en transformant la pharmacie en simple boîte aux lettres. La prescription est transmise au laboratoire, qui conditionne les médicaments et les renvoie à la pharmacie. On ne sait même plus ce qu’il y a dans les boîtes !

Je comprends la motivation de Céleste Lett, dont la ville accueille une entreprise spécialisée dans le conditionnement sous blister…

M. le président Pierre Méhaignerie. C’est légitime, si 300 emplois sont en jeu…

M. Michel Heinrich. En tout état de cause, le conseil de l’Ordre – qui, je l’ai vérifié, n’a pas été consulté – est foncièrement hostile à ce principe. Autant supprimer le pharmacien et permettre au patient de transmettre directement l’ordonnance à l’entreprise !

M. Jean Mallot. Je n’ai pas compris par quel mécanisme une telle disposition pouvait conduire à des économies.

M. Paul Jeanneteau. Je me pose la même question. Par ailleurs, il conviendrait de recueillir au préalable l’avis du conseil de l’Ordre des pharmaciens.

M. Guy Malherbe. Si le « forfait soins » n’a pas pu être installé comme prévu dans les EHPAD, c’est justement à cause du problème de la dispensation des médicaments, d’ailleurs pointé par un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales. L’expérimentation du forfait a montré que ce mécanisme ne fonctionnait pas.

M. Fernand Siré. Cette façon de conditionner les médicaments me paraît en contradiction avec la nécessité pour un médecin de moduler les traitements. Ainsi, dans les maisons de retraite ou la prescription est renouvelée presque automatiquement, on en vient à donner des diurétiques à des personnes déshydratées. Un traitement médical doit être personnalisé ; il est dangereux de le programmer sur deux ou trois mois.

M. Céleste Lett. Tout d’abord, il n’existe pas encore d’entreprise de ce type dans ma circonscription. En revanche, on en trouve une en Allemagne, qui conditionne de cette façon depuis dix ans. La chaîne fonctionne parfaitement : le médecin fait une prescription qui est présentée au pharmacien, puis ce dernier la transmet à l’entreprise pour qu’elle conditionne les médicaments selon sa demande, avant de les livrer au patient par l’intermédiaire de la pharmacie.

Quant aux économies générées, elles sont de trois ordres : le nombre d’hospitalisations liées à une mauvaise prise de médicaments est réduit, la prescription et la facturation deviennent identiques – alors qu’aujourd’hui, une partie des médicaments achetés n’est pas consommée –, et l’admission en établissement est retardée.

Je suis persuadé que nous parviendrons à dépasser les corporatismes et à adopter cette disposition qui relève de l’intérêt général.

 

M. Jean-Pierre Door, rapporteur pour l’assurance maladie et les accidents du travail. Selon moi, il est trop tôt pour le faire : ce dossier technique mérite un examen approfondi. Il convient notamment de consulter les pharmaciens et l’AFSSAPS, à cause des problèmes de sécurité pouvant se poser, et de vérifier si une telle disposition est de nature réglementaire ou législative.

Je demande donc le retrait de l’amendement, faute de quoi je donnerais un avis défavorable.

M. Céleste Lett. À une certaine époque, on me répondait que ce dossier relevait du domaine réglementaire. Mais il est examiné par le ministère depuis déjà un moment. Cela étant, je veux bien admettre qu’une consultation du conseil de l’Ordre des pharmaciens et de l’AFSSAPS pourrait être nécessaire.

La Commission rejette l’amendement AS 8…………….

Comme il l’avait déclaré, il suffit de changer quelques lois et de passer quelques décrets !

 

Eh bien, le grand Yaqua n’a pas fait fort !

 

 

Voir


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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 14:42

Nathalie-Nehlig.jpg

 

 

Et deuxième sur la liste de la Gauche pour Sarreguemines avant que ses nouvelles fonctions l’emmènent à Strasbourg

 

Article paru dans Sarre-Hebdo du 18/ octobre 2010

« Durant 2 ans, la paroisse protestante d'Haskirchen-Bissert était restée sans pasteur, puis l'année dernière, ce fut un pasteur-vicaire qui arriva. Il a été remplacé par Nathalie Nehlig depuis le 1" septembre de cette année.

Sarre-Hebdo : Nathalie Nehlig, qui êtes-vous ?  

Nathalie Nehlig : Je suis une enfant du pays, je parle l'alsacien, je suis originaire d'Herbitzheim. Je suis partie à 18 ans à Strasbourg pour y suivre des études de médecine. Rapidement, je me suis tournée vers la théologie et j'ai passé mon DEUG. Puis j'ai fondé une famille et j'ai suivi mon mari à l'étranger. Nous sommes revenus pour 3 ans et j'en ai profité pour faire ma licence et ma maîtrise en partie. Nouveau départ pour la Vienne et retour au pays il y a 4 ans. Mon mari est actuellement proviseur à Morhange. J'ai pu reprendre mes études et j'ai terminé mon master.

De quand date votre vocation ?

La vocation était là relativement tôt, mais le chemin ne l'a pas permise. Je n'ai pas pu la mettre en pratique tout de suite ou peut-être que je ne me suis pas donné les moyens de le faire ? Avoir fondé une famille et élevé trois enfants, ça m'a enrichie. J'ai vécu avec des gens dans une certaine proximité, le médical et l'enseignement. J'espère que cela pourra me servir dans mon ministère.

Comment devient-on pasteur?

J'aurai mon diplôme de pasteur à la fin de l'année de vicariat, si tout va bien. Il est délivré par la commission des ministères. Après mes études de théologie, j'ai entrepris le vicariat qui dure trois ans. J'ai été durant 18 mois à la Robertsau avec un maître de stage qui m'accompagnait dans toutes mes actions. Ensuite j'ai continué avec 4 mois à la conférence européenne des églises qui traite de tous les sujets d'éthique. J'ai fait un mémoire sur l'euthanasie et la fin de vie. Ce sujet sera repris en novembre au conseil de l'Europe. Je représentais toutes les églises protestantes et j'ai rencontré des délégations européennes pour discuter du sujet et leur donner " du grain à moudre "pour leurs discussions en sessions. Ce fut un stage très intéressant et de plus il m'a fait réviser mon anglais !

Vous enseignerez également dans les écoles ?

Je donnerai une heure de cours à Harskirchen. Le reste est assuré par des catéchistes formés à l'université de Strasbourg qui leur délivre un certificat. Ce certificat est un gage de sérieux et nécessaire pour l'éducation nationale. »

 

 

Bonne chance à Nathalie qui suit toujours l’actualité de Sarreguemines et  qu’on espère y revoir à une occasion ou une autre.

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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 14:17
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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 00:01

manif sarg 16octobre

  Voir aussi  ICI

 

Pendant que le député maire Lett mangeait au St Walfried avec les patrons du BTP, 800 à 1200 manifestants défilaient dans le calme dans les rues de Sarreguemines et demandaient devant la mairie et la sous-préfecture le retrait de la réforme des retraites et son réexamen.

 

On murmure qu’il commence à vouloir prendre ses distances avec Sarkozy ? Aurait-il perdu espoir d’être sous-ministre dans le prochain gouvernement ?

 

S’il écoute les Français et ses administrés, qu’il admette comme 71% d’entre eux que cette réforme est injuste et inefficace !

 

Et qu’il nous rejoigne mardi  19 octobre à Metz ! Il pourra même prendre le bus affrété par la CGT !

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 12:25

a-la-manifestation-sarreguemines.jpg

 

 

L’intersyndicale organise une manifestation « décentralisée » ce samedi à Sarreguemines pour lutter contre la réforme injuste et inefficace des retraites.

                               

Les grandes manifestations du 13 octobre ont montré, à Metz en particulier,  une participation et une mobilisation croissante.

 

Il est possible de faire reculer le gouvernement ! Sarkozy se dit prêt à remettre en cause le bouclier fiscal qui serait devenu « un symbole d’injustice », la réforme des retraites doit elle aussi être revue de fond en comble.

 

Après les habitants de Forbach et des alentours le 2 octobre, il est important que les habitants de Sarreguemines et des alentours montrent leur détermination :

Ce gouvernement défend les intérêts des riches et des privilégiés, Céleste Lett est localement son soutien servile.

 

Tous ce samedi 16 octobre à 14h30 devant la gare de Sarreguemines : c’est gratuit, c’est convivial et c’est utile !

 

 

 

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 09:32

Rene-Basset-recadre.jpg

Ceux qui ont lu le livre de Jean Philippe Huelin (Recherche le peuple désespérément), ou assisté à la conférence qu’il a donnée pour GPS, sont familiers du concept de « péri-urbanité ». Rappelons néanmoins brièvement qu’il y défend que les « villes-centres » regroupent les activités du virtuel, de la finance et des métiers intellectuels ; que, corrélativement, elles sont habitées par la « bourgeoisie traditionnelle », par les « bourgeois-bohêmes », par les « intellectuels précaires » c’est-à-dire ceux qui exercent en CDD, temps partiel ou intérim ces métiers, « et … les exclus ». Le reste de la population, les employés et ouvriers, est repoussé non pas en banlieue, mais en péri-urbanité ou ruralité. Sur le fondement de cette conceptualisation, quelle réflexion peut-on mener pour Sarreguemines ?

Observons d’abord que notre cité n’est pas, elle en est loin et n’en prend pas le chemin au contraire,   une ville-centre. Toutefois elle correspond assez, si l’on y regarde de près et toutes proportions gardées, au regroupement d’activités décrit par Jean Philippe Huelin. Quant à la composition de ses habitants, il faudrait approfondir, mais on ne se trompera guère, je crois, en posant qu’elle est constituée, pour l’essentiel, de bourgeois traditionnels et … d’exclus ; qu’elle comporte assez peu de bourgeois-bohêmes et sans doute beaucoup de précaires – pas seulement intellectuels. Au surplus, peut-être parce qu’elle est petite, de relative faible étendue, elle présente deux particularités liées.

En France, le terme de « banlieue » est devenu synonyme de « ghetto », c’est-à-dire de cité fermée sur elle-même regroupant des communautés elles-mêmes plus ou moins marginalisées. Dans notre ville, la « ghettoïsation » est moins marquée, ou bien elle est revêt des formes différentes. D’une part, les quartiers qui, en d’autres lieux, pourraient apparaître comme l’image fidèle de la banlieue, sont ici intégrés dans la ville : ils sont proches du centre et aucun obstacle physique (le périphérique à Paris par exemple) ne les sépare, qui en altérerait les échanges, les déplacements, entre eux et lui, ou l’inverse. D’autre part, les populations y restent relativement mélangées, non pas par mélange de « communautés marginalisées », mais parce qu’y vivent encore nombre d’autochtones, ce qui a pour effet de ne pas trop dilapider le « capital d’autochtonie »  ̶   concept à manier avec prudence. Par contre, on trouve dans ces quartiers les exclus puisque l’on est en ville ; les employés et ouvriers, les inactifs et chômeurs, les retraités de ces métiers, qui, entre tous, représentent environ 75 % du total – j’extrapole les chiffres donnés par la sociologie d’autres villes comparables (source : Laurent Mucchieli, sociologue, directeur de recherches au CNRS). Quant à l’habitat, autre point commun, il est constitué le plus souvent de ces immeubles uniformes, sans âme architecturale, hérités d’un passé dont il faut gérer les erreurs – comme nos héritiers géreront les nôtres à deux différences de taille : beaucoup de quartiers périphériques ont été construits dans les années 50-60 c’est-à-dire à la suite d’une crise passée, la guerre, et d’un crise présente, celle du logement ; lorsque ces quartiers ont été bâtis, leur avenir était inimaginable et donc « l’on ne savait pas », tandis qu’aujourd’hui l’on sait, parce que l’on a appris à savoir, même si nos modélisations ne sont pas toujours parfaitement exactes. À cela s’ajoute, je reviens à notre ville, un habitat du centre « historique » fréquemment vétuste mais qui reste cher tant à l’achat qu’à la location, ce qui crée un rapport qualité prix disproportionné pour ne pas dire irréel – et scandaleux pour les faibles revenus, les exclus, qui n’ont pas d’autre choix.

Le second aspect du « particularisme lié », c’est que Sarreguemines connaît, si l’on peut dire, une « double péri-urbanité », l’une traditionnelle qui transforme les communes avoisinantes en lotissements dortoirs et engendre les va-et-vient automobiles que l’on sait – avec leurs dommages environnementaux et économiques ; l’autre, apparemment contradictoire dans les termes, « intra-muros ». En effet, Sarreguemines offre encore des possibilités de lotissement – la source finira toutefois nécessairement par se tarir. C’est cher, mais faisable, la proximité de l’Allemagne facilitant le succès de cette offre – et le maintien des prix. Le dernier lotissement qui a vu le jour est tout à fait représentatif d’une conception erronée et dépassée de ce type d’habitat : il n’y a rien, pas d’espace au sens de l’agora, pas d’animation ou de possibilité de convivialité. Ironie de l’irréflexion, il est de forme circulaire et de ce fait n’est pas sans rappeler le bourg du Moyen Âge qui s’enroulait autour du château du seigneur et qui vivait « involuté » sur lui-même, à cette différence près qu’il avait de quoi vivre en quasi-autarcie. Les lotissements sarregueminois sont à cette image : fermés au lieu d’être intégrés à la ville tout en étant dans la ville, espace que l’on contourne au lieu d’être ouvert. C’est en quelque sorte une péri-urbanité insérée dans la ville ou à ses abords immédiats. Comme n’y existe que « sa » maison il faut aller chercher le reste ailleurs de sorte qu’après que l’on a acquis ce dont on avait besoin l’on reste chez soi, dans sa cellule. Les distances sont certes moins importantes que dans les villes-centres, mais il reste que « la mobilité y est subie ». Dans de telles conditions la ville perd peu à peu sa dynamique. Et ce ne sont pas nos nouveaux concitoyens venus d’Allemagne qui pourraient à eux seuls redresser la situation : ils restent très minoritaires – le flux même se ralentit compte tenu d’une fiscalité moins intéressante ; ils travaillent en Allemagne, y ont gardé nombre de leurs habitudes et sont pénalisés par la barrière linguistique. Enfin, si l’on doit ajouter à cela cette « France souvent de petits propriétaires endettés par l’achat de leur pavillon », l’on voit que le repliement organisé peut s’aggraver pour certains en isolement puis en « relégation sociale » : aucune structure solidaire n’est susceptible, sur place, de contrarier cette dérive. Au contraire, l’organisation même du site la potentialise. La péri-urbanité, dans ses deux acceptions, génère un affaiblissement du lien social, de la civilité, de la solidarité.

Or la réflexion relative à l’habitat établit une constante qui ne devrait pas surprendre : partant du concept d’ « abri », elle va du « nid » (Bachelard) au « foyer » (Heidegger) qui, tous deux, recouvrent un double mouvement vers l’intérieur et l’extérieur (le foyer par son étymologie, focus, le feu qui réchauffe dedans et dehors) ; tous deux marquent une relation aussi forte vers l’extérieur, la société, que vers l’intérieur, le lieu de repos et d’intimité. En revanche, ce qui surprend  ̶  modérément, c’est que notre époque ait fini par abandonner le « tourné vers », puis par le traduire dans son mode d’habitat : elle a amputé le concept d’habitat d’une part fondamentale, quasi-vitale, de lui-même.

« Densifier la ville, éradiquer » le système « pavillonnaire et son cortège de déplacements automobiles » serait devenu « le leitmotiv des urbanistes et des élus » écrit, un peu rapidement à mon gré, Grégoire Allix dans un article du Monde. Les urbanistes vont déjà au-delà ; nous connaissons des élus qui n’imaginent même pas que ce genre de débat puisse être engagé ; la densification dépend étroitement de l’existant ; il faut enfin tenir compte du souhait prévalent des individus de posséder une maison plutôt qu’un appartement. D’où la nécessité de trouver des « compromis urbains », comme l’exprime François Asher (grand prix de l’urbanisme 2009). Il s’agit de « faire vivre ensemble la ville centre », les aires périurbaines, suburbaines et rurbaines, ainsi que « la ville des exclus, des assignés à résidence ». L’enjeu : « fabriquer une ville qui puisse satisfaire » les besoins de tout le monde « de manière équitable » en introduisant « partout de l’urbanité, des espaces publics, des services, des transports collectifs » efficients (François Asher) afin d’en finir, au moins sur le plan de l’habitat, avec ce qu’il fait perdre, dans sa structure, à « une société ses liens, son esprit de voisinage, le sens de la communauté » (Alex Mac Lean). Il faut pour cela

1.      « accroître l’échelle pertinente des villes en termes économiques, sociaux et culturels » (François Asher) : il y a beaucoup à faire à Sarreguemines, immédiatement, en matière économique et culturelle, lesquelles ont, sui generis aimait à dire Durkheim, une incidence directe sur le social. Cette action vigoureuse peut aussi se penser dans le cadre de l’intercommunalité, laquelle a tout à y gagner quoi qu’elle en pense peut-être, afin d’améliorer la pertinence d’échelle ;

2.      un compromis urbain « créatif (…) l’élément stratégique » en étant « le positionnement dans les technologies vertes » dans des villes devenant des « lieux d’expérimentation d’un urbanisme vert », en veillant cependant à ce que l’aspect de la « la durabilité » ne devienne pas « un surcoût pour les plus pauvres » (François Asher). Pour ce faire, Sarreguemines disposera d’un laboratoire de premier ordre : les friches des Faïenceries. À elle de ne pas manquer l’opportunité. Malheureusement, l’expérience nous incite au scepticisme ;

3.      engager une action déterminée dans le "centre historique" qui a la chance d’allier une belle architecture de facture classique allemande et le charme désuet, qu’il faut savoir reconnaître, des petites maisons provinciales. Cette architecture ne doit plus être dénaturée. À cet égard, rappelons qu’avec un peu d’imagination et de savoir-faire, les architectes sont là pour ça, l’on peut parfaitement marier le contemporain avec le classique. Les réhabilitations doivent être encouragées, dans le cadre architectural qui vient d’être indiqué, en faisant en sorte que les différentes catégories sociales restent représentées. Dit autrement : la remise en valeur du centre ne doit pas bénéficier aux seuls intérêts privés qui transformeraient l’opération en ce que Jean Philippe Huelin qualifie de « gentrification », à savoir repeuplement des centres par les plus aisés après que l’ancien inadapté et vétuste a été transformé en résidences de luxe.

Dans cette réflexion, nous sommes fidèles à une logique et à une conviction constantes : les grands chantiers, à quelque niveau que l’on se situe, ne peuvent être abordés que globalement, en tenant compte de toutes leurs composantes. Pas d’urbanisme, comme nous l’avons vu, sans économie, social et culture. L’économie : revivifier la ville en y réintroduisant l’entreprise, notamment « intellectuelle » (parce que non polluante), que pour l’heure l’on exile en périphérie, avec l’utilisation automobile que cela suppose ; et non sans penser une articulation cohérente entre les zones commerciales et le centre. Le social : densifier le "centre historique" selon le 3 ci-dessus c’est-à-dire en préservant la multiplicité sociale et démographique, ainsi que par une politique active vis-à-vis des jeunes qui doivent retrouver leur cité comme lieu de vie. La culture qui procède tout autant de la revivification (animer la ville) que de la densification (faire revenir la population dans « sa » ville) : nous nous sommes abondamment exprimés sur cet aspect au point que nous avons fini par nous demander si nos interlocuteurs savent ce qu’est la culture. C’est selon ce schéma que nous aurions abordé l’aménagement de l’ancien hôpital et du centre gare-ancienne halle Sernam, non par les raccords de bouts de ficelles qui semblent de mise. Ce qui implique que nos logiques et conviction sont devenues nécessité. Sarreguemines perd peu à peu sa substance. Plus le temps passe, plus il sera difficile et long, coûteux sans doute aussi, de redresser la situation de la ville, sans garantie de succès ; et plus il sera indispensable d’en passer par cette approche multipolaire.

 

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