Les élus et militants socialistes de l’arrondissement de Sarreguemines apportent naturellement leur soutien à la journée de mobilisation syndicale du 24 juin contre le projet de réforme des
retraites du gouvernement.
Le PS dénonce ce projet qui en reculant l’âge de départ à la retraite de 60 à 62 ans fait le choix le plus injuste qui soit.
Il fait peser l’essentiel de l’effort sur les salariés les plus usés et les plus modestes qui ont déjà eu les carrières les plus longues.
Cet effort demandé s’adressera aux seuls salariés, les revenus du capital et du patrimoine ne seront touchés que de façon symbolique et marginale.
Le PS s’engage dès maintenant à revenir sur cette réforme et à rétablir l’âge légal de départ à la retraite à 60 ans, après la victoire en 2012.
Le PS appelle les citoyens à se mobiliser massivement lors de la manifestation unitaire du jeudi 24 juin en se rendant Place de la gare à Metz à 14h30.
Un projet ancien et important vient d’entrer dans sa phase préliminaire – administrative̶ à la réalisation et l’on peut espérer qu’il aboutira enfin,
après de nombreuses années d’attente. Ne nous berçons pas d’illusion cependant : il faudra patienter encore car, sauf accélération brutale et imprévisible – il est plus que probable que,
contrairement à ce que se permet le maire en sa cité, le département brûle les étapes légales, par exemple en lançant les travaux avant l’enquête d’utilité publique ̶ ,
l’on ne voit pas débuter les travaux avant les fin 2011-début 2012.
Trois remarques préalables à notre propos :
il nous paraît très vraisemblable que l’équipe municipale actuelle – son maire en tête̶ s’attribuera tous les mérites de cette réalisation
oubliant, comme à l’accoutumée, que leurs prédécesseurs avaient commencé de déblayer le terrain dans une œuvre de longue haleine, et qu’elle a ainsi, et aussi, bénéficié du travail précédemment
effectué ;
comme à l’accoutumée également, le maire et son équipe aux ordres se gardent bien de dévoiler leurs intentions et, bien que ce silence n’ait objectivement aucun intérêt sinon de révéler
chaque fois un peu plus leur mépris, de donner la moindre information aux élus de l’opposition – peut-être même pas non plus à leurs propres élus d’ailleurs ;
la phase décisive en étant elle-même à ses balbutiements, nous ne disposons d’aucun élément technique nous permettant de prendre position et de nous prononcer. Cela ne nous empêche pas d’avoir un
point de vue sur, en particulier, un certain nombre de principes qui nous semblent tout autant de bon sens que fondamentaux.
Si les giratoires sont un progrès en ce qui concerne les accidents corporels – mais pas forcément les tôles froissées̶ , ils constituent en revanche un facteur de
ralentissement et de bouchon, donc de pollution supplémentaire : pour s’en convaincre, il suffit d’observer ce qui se passe plusieurs fois par jour aux giratoires "ex-Fuji", "ex-Conforama" –
l’on aura noté les deux "ex" ̶ et Rotherspitz. Entre autres. En conséquence, tout projet, il y en a, qui maintiendrait des giratoires serait inapproprié et
même contraire à l’esprit d’un contournement normalement conçu. Aussi, tous les carrefours empruntés devront-ils être aménagés en échangeurs. À ce titre, le plus important d’entre eux, celui de
la Rotherspitz, pourrait très bien, puisqu’il y a un peu de place, être déplacé vers le sud, même si ce n’est que d’une dizaine de mètres : cela permettrait
d’éloigner un peu plus la circulation et ses nuisances des premières habitations de la ville – et incidemment des éventuels clients du futur hôtel ;
de réserver une possibilité d’aménagement d’un « espace verdure » plus étendu, forestier ou autre, donc d’embellissement de l’entrée de ville.
Par ailleurs, le tracé doit tenir compte de deux impératifs environnementaux contradictoires : le bien être des riverains et la préservation de la forêt.
Les riverains les plus pénalisés sont ceux qui se trouvent entre la rue de la Montagne et la route de Nancy. Pour la première, « sous leur fenêtre », il n’y a pas grand-chose à faire –
quant à sa situation car, quant à l’aménagement, il y a beaucoup à entreprendre mais nous doutons que l’équipe majoritaire soit en état de s’y atteler. Pour la seconde, qui emprunte le sentier de
la partie Buccholz enclavée entre les deux voies, ne peut manquer d’être surpris par le niveau sonore qu’atteint la circulation. Il faut donc éloigner plus le contournement.
Comme il ne semble pas qu’il y ait d’autre solution, il faut passer par la forêt, d’où sa préservation impérative. L’idéal serait bien sûr que la chaussée fût enterrée. Techniquement rien ne s’y
oppose. Néanmoins, cette proposition accroîtrait considérablement les coûts, quoiqu’elle offrirait plus de travail, donc plus d’emplois et de pouvoir d’achat redistribué. Mais ne rêvons pas. II
reste par conséquent à prendre les dispositions pour :
empiéter le moins possible sur l’espace forestier, ce qui implique une mise en cohérence des parties rives gauche et droite : si la rive droite est à deux sens, il n’y a aucune raison que la
rive gauche soit à quatre voies ;
compenser intégralement les surfaces de forêt détruites – d’où l’intérêt d’éloigner l’échangeur de la Rotherspitz ;
réduire autant que faire se peut les nuisances sonores et rejets de carburation (limitation de la vitesse) ;
ceci est important, profiter de l’occasion pour repenser, redessiner, toute l’utilisation de la forêt tant pour les promeneurs ou sportifs que pour la faune et la flore, et la
réaménager en conséquence.
Enfin, rive droite, le tracé retenu devra nécessairement tenir compte de l’hôpital : aux nuisances actuelles résultant de son positionnement, il ne faut pas ajouter celle du contournement.
Le bruit peut-être réduit – le mieux serait qu’il n’y en eût pas̶ mais rappelons que le métré de mur antibruit efficace est très élevé ;
les rejets atmosphériques sont par contre plus difficiles à maîtriser (et impossibles à neutraliser) en raison des vents. Or les vents dominants sont sud-ouest et nord-est : quoique l’on
fasse, ils rabattront cette pollution. Ceux qui ont déterminé l’emplacement de l’hôpital ont négligé des paramètres importants – alors que le contournement était depuis longtemps en gestation.
Qu’ils gèrent donc désormais.
Nous sommes bien sûr pour une presse pluraliste et indépendantemais le problèmese situe sur le fait que la presse est aujourd'hui "obligée" de
chercher des fonds auprès de ceux qui les détiennent et que, ce faisant, elle risque d'y laisser son indépendance; et que cette "obligation", parce qu'elle est ressentie comme
telle, n'appelle pas de réflexion sur d'autres solutions, ni sur le rôle des pouvoirs publics qui sont pourtant concernés car c'est de la démocratie qu'il s'agit.
On n’est d’autant plus inquiets à la lueur des derniers développements du rachat du journal le Monde Voir à ce propos le communiqué duporte-parole du PCF, Olivier Dartigolles, qui a dénoncé samedi "la berlusconisation de Nicolas Sarkozy" qu'il accuse d'être
intervenu dans le dossier du rachat du Monde, réclamant "la transparence la plus complète" sur cette affaire.
"En début de semaine, le président Sarkozy a convié à l'Elysée le président du directoire du journal Le Monde, Eric Fottorino,
pour lui donner son avis sur le rachat du quotidien", explique le communiqué.
"La nature même de cette convocation témoigne à elle seule des mœurs pour le moins douteuses entre les médias et le pouvoir en
place", estime le dirigeant communiste.
"Pire, lors de cette même rencontre, le président de la République aurait menacé le président du directoire de suspendre
l'aide de l'Etat à son imprimerie si la candidature retenue pour son rachat n'était pas celle qui avait sa faveur", affirme le communiqué.
Une entreprise a reçu la lettre reprise ci-dessous
« Sarreguemines, le 07 juin 2010
Monsieur,
J'ai l'honneur de diriger un hebdomadaire d'informations locales qui couvre les secteurs de Sarreguemines, Sarralbe,
Sarre-Union et Puttelange.
C'est un métier difficile que nous faisons avec ma petite équipe : un journaliste, un commercial, une opératrice PAO et un
réseau de correspondants locaux.
Nous vendons 1800 journaux répartis entre la vente au numéro et les abonnements, ce qui est encore trop peu mais je sais que
le potentiel existe pour augmenter notre diffusion à 3000 exemplaires d'ici un an.
Pour cela nous avons un projet :
Nouvelle maquette et passage au tout quadri ; création d'un réseau de portage ;
Amélioration du contenu et augmentation de l'offre rédactionnelle.
Nous sommes un titre encore jeune mais depuis cinq ans, nous avons toujours joué la carte d'une presse de proximité, une
presse de terroir qui permet aux habitants de notre région de se tenir informé des événements locaux et des dossiers traités par les institutions locales.
Nous avons aussi la faiblesse de penser que « Sarre-Hebdo » est, à bien des égards, garant du pluralisme de la presse dans
cette partie de notre département ; c'est une chance que nous devons collectivement conserver pour donner à nos compatriotes, un éclairage et un point de vue différent sur l'information de
proximité.
Vous êtes vous-même un industriel renommé dans notre région, c'est la raison pour laquelle je me permets d'attirer votre
attention sur l'existence d'une politique fiscale en presse dont les avantages pour les donateurs sont les suivants :
les particuliers : - 66% sur l'impôt sur le revenu dans la limite de 20% du revenu imposable ;
les entreprises: - 60% sur l'impôt Société dans la limite de 5 pour 1000 du chiffre d'affaires.
Afin de mettre en œuvre mon projet, je recherche un financement de 50 000 euros par an pendant 3 ans, peut-être ce
dispositif du mécénat pour lequel notre titre est éligible, attirera votre attention et permettra à votre entreprise de contribuer au pluralisme de la presse de proximité dans notre bassin de
vie.
En espérant que vous pourrez répondre favorablement à notre demande, veuillez agréer, Monsieur, mes salutations
distinguées.
Il y a longtemps que je n’ai pas acheté de timbre pour ma collection thématique, consacrée aux animaux. Grâce à elle en tout cas, j’ai beaucoup voyagé en pensées,
avant de devenir moi-même un passionné des voyages. Elle m’a aussi appris beaucoup sur le règne animal, car ma collection est organisée de manière très scientifique en respectant les
classifications en vigueur. L’attention et le soin nécessaire pour la recherche de nouveaux timbres, leur classement, la mise en album ont été très formateurs et m’ont aidé à
acquérir rigueur et patience.
On le voit, je suis, sinon un pratiquant régulier, du moins un défenseur convaincu de cette pratique d’un loisir intelligent.
Je le dois à mon père Maurice qui était un collectionneur acharné (collection France) et à mon oncle Pierre qui a repris sa collection en plus de la sienne propre
(consacrée aux anciennes colonies françaises) et porte aussi très haut le flambeau de la recherche généalogique familiale (voir Geneanet)
Il est de tradition familiale de s’envoyer des enveloppes premier jour chaque fois que c’est possible à l’occasion de la parution de nouveaux timbres. Informé
par la presse je me suis bien sûr rendu au Jardins des Faïenciers samedi 12 juin pour acheter le nouveau timbre sur la Faïence Sarregueminois e et envoyer une enveloppe à mon
oncle portant le nouveau cachet.
Quelle ne fut pas ma surprise de « tomber » sur un événement mondain : le traiteur avait disposé ses petits fours, les boissons remplissaient les
verres, et certains de mes collègues au conseil municipal étaient là, visiblement en représentation.
Pourtant, bien que conseillers municipaux, ni moi ni mes colistiers n’avons reçu d’invitation à participer à cet événement. Ceci est exceptionnel
car nous recevons chaque semaine des invitations à participer à de nombreuses commémorations, inaugurations, célébrations auxquelles nous nous rendons aussi souvent que
possible, en fonction de nos disponibilités. (En limitant toutefois la fréquentation du fameux « vin d’honneur (qui) sera servi à l’issue de la cérémonie » et grâce
auquel nous pourrions entretenir tranquillement notre cirrhose du foie !).
À titre d’exemple cette semaine j’ai reçu entre autres les invitations à :
1/L’inauguration du mini-terrain de football en gazon synthétique (et au vin d’honneur !)
2/la cérémonie commémorative de l’appel du général de Gaulle
3/le concert de musique sacrée – le Gloria d’Antonio Vivaldi
4/La réfection et la bénédiction du presbytère St Nicolas (et au vin d’honneur !)
5/la finale du 18e open de Sarreguemines Handisport (et au vin d’honneur !)
Mais d’invitation à un évènement philatélique, point !
Renseignement pris La Poste avait invité le Maire, et celui-ci lorsque je lui ai demandé m’a confirmé avoir invité « les adjoints concernés ».
La question est donc « dans l’esprit du maire, s’agit-il d’un évènement mineur, moins important que les autres auxquels il m’a
convié cette semaine ? Ou bien au contraire d’un événement trop important pour qu’on y mêle l’opposition ? »
Je pense que la bonne réponse est la deuxième :
Il connait notre attachement au service public et notre engagement pour la défense du statut public de La Poste. Notre présence l’aurait peut-être obligé à ne pas
faire son Lapalisse : (cité par le RL« s’il n’y a plus de Poste, il n’ya plus de timbre » et à ne pas faire le grand écart idéologique en
« regrettant la fermeture de bureaux de poste en milieu rural » alors qu’il vote les lois qui provoquent ces fermetures !
L’autre clé est à trouver dans son affirmation que « les philatélistes préservent le patrimoine », ce qui est vrai, et le conduit à penser que les
philatélistes sont sensibles à son clientélisme et qu’il faut les soigner, hors la présence de l’opposition.
Je ne pense pas quant à moi que la philatélie est un « sport de droite », ni que les philatélistes sont tous acquis aux
orientations politiques du maire: La philatélie n’est ni de droite, ni de gauche. Et d’ailleurs, préserver le patrimoine serait de mon point de vue plutôt une valeur de Gauche – voir le sort qui
est fait à l’ancien Hôpital de Sarreguemines !
La Posteappartient à tout le monde, le patrimoine aussi et la philatélie est un loisir pour tous. Il permet si on le souhaite
de s’ouvrir sur le monde, d’y jeter un regard critique et peut même donner l’envie de le changer.
Merci en tous cas à la Poste et à la Société des philatélistes Sarregueminois
L’agglomération de Montbéliard (Doubs) reprendra en régie directe en 2015 la gestion de son réseau d’eau courante actuellement
confiée et jusqu’en 2022 au groupe privé Veolia. Une décision qui constitue un « précédent absolu en France », a-t-elle annoncé hier. La collectivité, qui estime trop élevé le prix
actuel de l’eau, reprendra en février 2015 en régie publique ce marché, anticipant ainsi de sept ans la fin du contrat de délégation de service public (DSP) avec Veolia.
Publié le 05/06/2010 par le Républicain Lorrain
Montbéliard, Ville centre du Pays de Montbéliard
Montbéliard (30 000 habitants) se situe au cœur du Pays de Montbéliard, agglomération de 123 000 habitants, à deux pas de la
Suisse et à une heure de l'Allemagne.
La presse ouvrait aujourd’hui ses colonnes à la directrice de l’IUFM, ex candidate malheureuse aux régionales sur la liste
UPM Sarkozysme du moins sémillant Hénart.
En substance elle se félicite que la masterisation avec un parcours de différenciation permettent aux 60% d’étudiant
(e) s qui échouent à l’examen de se recycler en ayant un diplôme bac +5.
Elle oublie de parler des 40% qui échouent devant les élèves et qui sans formation
pratique et à leur corps défendant accroissent ainsi l’échec de leur élèves !!
Disons le avec les enseignants regroupés au sein de la coordination nationale formation enseignant
(http://coordination-fde.org )
« Enseigner, un métier qui s’apprend »(et pas seulement sur le tas !)
Madame Gafiuk aurait été bien inspirée de soutenir la position de la conférence
des directeurs d’IUFM :
Communiqué du 23 mars 2009
« Masterisation : sortir de la confusion et de l’incohérence (bis repetita)
lundi 23 mars 2009
La Conférencedes Directeurs d’IUFM ne cesse
d’attirer l’attention sur le degré de confusion et d’incohérence atteint par la réforme du recrutement et de la formation des enseignants à force d’ajouts et de rectifications successifs.
Les mesures concernant le caractère transitoire de l’année 2009-2010 ne font que rajouter un peu plus de confusion et
d’incohérence :
la juxtaposition de trois catégories d’étudiants qu’il faut désormais traiter de manière différente ;
la nécessité de bricoler un dispositif à la hâte pour un nombre significatif d’étudiants, ceux qui préparent les concours de professeurs des écoles, des lycées professionnels, de conseiller
principal d’éducation, ;
l’obligation pour la plupart d’entrer dans la logique de préparation des actuels concours et de s’inscrire simultanément dans des masters (quand ils existent) qui ont été construits dans
une toute autre logique ;
et, au bout du compte, la dévalorisation et la perte de crédibilité pour ces masters.
Il existe pourtant une solution simple, claire, cohérente, efficace et lisible.
Puisque l’on proroge officiellement les concours actuels, il suffit de proroger l’année qui les prépare et l’année de
formation professionnelle en alternance qui les suit. Il y a là un dispositif qui, depuis une vingtaine d’année, a fait la preuve de sa cohérence et de son efficacité.
Il est alors très simple (moyennant le renforcement de la dimension recherche du mémoire de seconde année) de délivrer le
diplôme ou le grade de master à tous ceux qui auront réussi ce parcours difficile et particulièrement sélectif.
Construire l’avenir
De plus, pour construire l’avenir, la Conférence des Directeurs d’IUFM réitère sa proposition d’organiser des Etats Généraux
de la formation des enseignants sous forme d’une consultation rigoureuse et démocratique de tous les acteurs de ce dossier. »
Mais cela aurait sans doute déplu à nos UMPistes locaux et on sait que la dame aime leur
plaire !
« Dans le cadre de la déviation sud de Sarreguemines, le Conseil Général organise une concertation
préalable à l’attention des riverains, des usagers, des associations et des administrations.
Ces derniers vont donc pouvoir s’exprimer et donner leur opinion sur ces futurs travaux qui les concernent
directement.
Une exposition publique se tiendra donc du 3 mai au 4 juin 2010 dans les mairies des
communes concernées et à la Communauté d'Agglomération Sarreguemines Confluences :
- Pour la villede Sarreguemines :
Au Casino des Faïanceries
Du lundi au vendredi de 8h à 10h45 et de 13h30 à 15h30
Le mercredi 2 juin de 16h à 19h
- Mairie de Remelfing :
Lundi et vendredi de 7h30 à 11h30 et de 13h à 17h
Mardi, mercredi et jeudi de 13h à 17h
- Mairie de Sarreinsming :
Du lundi au vendredi de 8h à 12h
Mardi de 18h30 à 20h30
- Communauté d'Agglomération Sarreguemines Confluences :
Du lundi au jeudi de 8h à 12h et de 13h30 à 18h
Le vendredi de 8h à 12h et de 13h30 à 16h30.
Des registres seront tenus à la disposition du publicsur l'ensemble des lieux d'exposition afin que chacun puisse faire part de son avis et de ses observations sur les
options envisagées.
De plus, le Conseil Général mettra en place des permanences afin d'informer et d'éclairer le
public sur les différents tracés envisagés :
- vendredi 28 mai de 14h à 16h en mairie de Remelfing,
- mercredi 2 juin de 16h à 19h au Casino des Faïenceries de Sarreguemines.
A partir de l'ensemble des observations, le Conseil Général dressera ensuite un bilan qui sera à la
disposition du public, à l'automne prochain, dans les mairies concernées et à la Communauté d'Agglomération Sarreguemines Confluences.
Cette démarche constitue un préalable nécessaire à l'engagement de la procédure visant à déclarer d'utilité publique une opération dont le tracé définitif s'inspirera du bilan
précité.
Il est également intéressant de noter que cette opération a été retenue parmi les 17 grands projets
prioritaires du récent Schéma Directeur Routier du Conseil Général. »
La CASCinformeparallèlement des dates
suivantes Les prochaines réunions auront lieu :
« 28 mai à Rémelfing de 14h à 16h à la Mairie
28 mai à Sarreguemines de 16h30 à 19h à la Mairie
Un agent de la Direction des routes départementales du Conseil Général sera présent pour informer le public des différents tracés envisagés. »
En fait la réunion de Sarreguemines annoncée par la CASC a été reportée ! On voudrait dissuader les habitants d’aller aux réunions de concertation qu’ion ne s’y prendrait pas
autrement !
D’ailleurs les consignes du Conseil général sont claires : « ne rameutez-pas !
s’ils sont intéressés les habitants se mobiliseront tous seuls»
On nous annonce le lancement de la mise en place des nouveaux compteurs radio-relevé.
Rappelons un fait ou deux :
Ça ne va couter « que » 6,-€ en plus en moyenne,
Mais contrairement à l’assurance proposée avant par Veolia, cette dépense est obligatoire
Bien sûr ce n’est rien pour les adjoints aux maires qui en plus de leur retraite ou salaire touchent de confortables
indemnités de 1 fois et demi le SMIC (quand ils ne sont pas en plus conseillers généraux ou vice-président de la CASC – ce qui au total leur fait des revenus dignes d’un député de la
république !). La ville va financer les compteurs, mais qui perçoit les fameux 6 € ? ……….VEOLIA
Cela permet de contrôler sa consommation et de détecter les fuites:
A condition d’avoir un accès internet- ce qui serait le cas d’environ 50% des foyers concernés- les autres payeront donc sans
aucun service en contrepartie.
La détection des fuites avant compteur est un résultat positif, mais pourquoi faire payer aux ménages un
avantage pour VEOLIA ?
« …si leur consommation chute de manière significative, nous pouvons en déduire qu’ils ont d’autres sources » dixit
l’adjoint concerné : on ne peut mieux exprimer que Big Brother est déjà chez vous !
Cela permet de lutter contre la pollution :
L’eau pollue ? Faisons un peu de pédagogie : il s’agit de détecter les injections dans le réseau d’eau collectées
par l’usager (eaux pluviales ou puit) et qui alimenterait son installation aux deux sources. En principe un clapet anti-retour évite les réinjections intempestives d’eau non traitée. Pour
s’assurer de la conformité de l’installation un diagnostique est obligatoire : il coute plus de 100€ et est réalisé par ……….VEOLIA
Au lieu d’encourager les gens à utiliser l’eau de pluie, on les menace et on les fait payer : c’est normal, ils font
baisser la consommation d’eau facturée par VEOLIA.
On ne va plus déranger les gens pour les relevés :
C’est vrai, mais qui supprime l’emploi des releveurs et économise leurs salaires ? ……………VEOLIA, qui peut ainsi délocaliser la gestion à distance, aujourd’hui à Metz, demain en Inde ? ......VEOLIA
Les nouveaux compteurs seront installés chez la majorité des habitants de Sarreguemines :
En fait seulement un peu plus de la moitié, puisque les 4500 abonnés dépendant du syndicat des eaux de La Blies, ne sont pas
concernés.
Redisons : nous sommes pour le service public de l’eau et la reprise en régie directe comme cela
est fait dans de nombreuses villes , au fur et à mesure de l’arrivée à échéance des contrats léonins que Veolia et consorts avait fait signer à des maires complaisants ou
ignorants.
Il faut remercier l’auteur de ce blog qui fournit à l’ensemble des habitants et citoyens des informations importantes et
nécessaires à la formation d’une opinion.
On aimerait que les pouvoirs publics, en-tête desquels la CASC et le maire de Sarreguemines déploient les mêmes volontés
pédagogiques et démocratiques, et en particulier organisent de véritables réunion publiques d’information et de débat pour tous, pas seulement pour les « happy-few » conseillers
municipaux ou participants cooptés des « comités de pilotages », « groupes de travail » ou autres « commissions extra-municipales »
Le maire Lett a refusé aux habitants de Sarreguemines un véritable débat
démocratique sur la centrale à gaz, cela s’est traduit par des milliers de protestataires dans la rue.
Nous demandons l’organisation de débats publics à Sarreguemines sur le tracé de la déviation Sud, sur
la semi-piétonisation, sur les antennes téléphoniques et autres relais :la démocratie locale et
participative ne consiste pas à réunir clandestinement des petits groupes de gens ayant le même avis : il faut au contraire accepter la confrontation des idées pour qu’en sorte un consensus
et de meilleures décisions. Ce n’est malheureusement pas l’avis de la municipalité Lett !
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