Article dans le Républicain Lorrain du 20/12/09 : Illuminations oui, mais économiques
A Copenhague on s’achemine vers un échec à sauver la planète, ou au mieux vers des mesures en trompe
l’œil, qui permettront aux riches de continuer à piller les ressources naturelles.
En France EDF annonce des risques de coupure de courant, qui ont à l’évidence deux causes
principales : la politique historique du tout électrique, sans mesures contraignantes d’isolation, et les économies de bout de chandelles sur l’entretien qui provoquent l’arrêt
de nombreuses centrales atomiques.
Et à Sarreguemines ?
On continue à organiser la surconsommation électrique avec le traditionnel concours des
illuminations de Noel des maisons individuelles et des balcons (voir le RL du 17/12/09) qui mobilise tout un jury pour un nombre décroissant de participants (30 contre 35 en 2008 c’est 15%
de moins, ce qui montre à l’évidence
soit que de nombreux ménages ne peuvent plus supporter le coût de l'opération, soit que nos concitoyens ont pris conscience de son incongruité )
Nous sommes pour les décorations festives et pour que les habitants prennent en charge l’amélioration de
leur cadre de vie. Mais en l’espèce si l’équipe municipale aux affaires était responsable et en phase avec les enjeux contemporains, elle aurait , comme nous l’avions proposé, organisé un
concours des décorations sans consommation électrique, ou à tout le moins rendu obligatoire l’usage de LED (pour mémoire la ville de Lyon dit avoir un budget électricité limité à 3500€ pour sa
fête des lumières qui a rassemblé plusieurs million de spectateurs (http://www.lumieres.lyon.fr/lumieres/sections/fr )
Eric Kamblock, conseiller municipal, La Gauche pour Sarreguemines
Habituellement, le programme culturel d’une ville reprend les manifestations relevant de la « culture
classique », qu’il s’agisse de musique ou de théâtre, le jazz y étant parfois intégré. Le reste, dont la variété, vient « de surcroît » et fait l’objet d’une programmation
différenciée. Aussi ai-je attendu, cette année, que vienne « le reste », à savoir, pour notre ville, la culture classique. Or rien n’est arrivé. La saison culturelle 2009-2010 de
Sarreguemines est donc déséquilibrée.
Elle l’est parce qu’elle ne touche que les très jeunes, ce qui est bien (spectacles de marionnettes,
Pierre et le Loup), et les amateurs de variétés ; parce qu’elle ne se préoccupe pas de ceux qui ne se reconnaissent ni dans les variétés proposées – je pense en particulier aux
adolescents̶ ni dans la culture classique ; parce que, hormis la biennale romantique – dont on pourrait
d’ailleurs débattre de la présence au programme, tout comme le festival platt̶ et les Fourberies de Scapin, la musique et le théâtre classiques sont, à mes yeux, douloureusement
absents, ce qui confirme une tendance entrevue depuis plusieurs années déjà. Curieusement, l’adjoint concerné affirmait, lors de la présentation, que le programme était le fruit d’une large
concertation. Large peut-être, mais avec un oubli sérieux, celui des amateurs de culture classique, à moins que ceux-ci, consultés, n’aient pas été entendus ! L’on me dira sans doute que
j’établis une hiérarchie culturelle : ce serait me faire un mauvais procès d’une part ; ce serait surtout confondre goût, art et culture, d’autre part. Sur ce dernier point, je dirai
simplement que la variété n’est pas de mon goût, qu’elle n’entre que rarement dans la catégorie de l’art, mais qu’elle représente une part importante de la culture de notre époque et qu’à ce
titre elle ne peut être rejetée. Tout au contraire doit-elle être observée avec attention. Mais les autres formes culturelles – pas seulement classiques, qui sont notre socle, ne doivent pas non
plus être être marginalisées.
J’ai cru comprendre que ce qui est reproché à la culture classique, c’est qu’elle coûte cher et attire
peu de spectateurs. Si tel est le cas, d’abord, ce n’est pas seulement une
méconnaissance de la culture classique qui s’exprime, mais aussi celle de la culture tout court. Une culture s’acquiert, toujours, même lorsque cela ne demande pas d’effort
apparent. Un apprentissage, de quelque nature qu’il soit, est toujours progressif. Et la culture classique n’est pas toujours difficile à pénétrer. Tout au contraire,
quantité de ses œuvres sont d’un accès premier immédiat, ou quasi-immédiat, d’où une possibilité de progressivité d’approche. Si tel est le cas, ensuite, c’est que l’on demande à la culture
d’être rentable. C’est peut-être lié à notre époque, mais c’est antinomique. Pour autant, cela ne veut pas dire, dès lors que la culture a un coût, que l’on peut se permettre n’importe quoi en la
matière. Mais je prétends que l’on peut remplir des salles avec la culture classique sans grever dangereusement le budget qui est imparti à la culture : les sarregueminois, je l’ai déjà dit,
ne sont pas moins cultivés que les autres, il suffit peut-être seulement de répondre à leurs attentes, et inciter. Il y a des œuvres porteuses et il y a des spectateurs potentiels pour certaines
catégories d’œuvres classiques. Encore faut-il se donner la peine de les faire coïncider, c’est-à-dire de connaître et de réfléchir – promouvoir la culture est un militantisme. « La musique
classique plaît et est ouverte à tout public. Il faut juste oser pousser les portes », dit Sophie Pêche, organisatrice, parmi d’autres, du festival Euroclassique. J’étends cela à toute la
culture classique, qui fut également celle d’autres époques que la nôtre, époques qui n’avaient ni l’éducation, ni les moyens d’éduquer dont nous disposons.
Sarreguemines bénéficie avec Pirmasens, Sarrebruck, Metz, Strasbourg et même Nancy, d’un environnement et
de moyens culturels assez exceptionnels, notamment dans le domaine de la musique. Il y a là, à n’en pas douter, des opportunités qui mériteraient d’être approfondies et il est vraiment dommage de
ne pas les exploiter. D’autres le font, pourquoi pas Sarreguemines ? Est-il besoin, enfin, de souligner que la vie culturelle est un symbole fort d’une cité vivante ; que, par voie de
conséquence, la dynamique culturelle participe de la dynamique de la cité et que, de ce fait, elle devrait être un des instruments à privilégier pour tenter d’enrayer la mort lente de notre
ville ?
Impression en urgence et en quadrichromie de 1100 tracts « en direct de votre quartier » sur papier glacé 120 grammes,
Convocation de tous les adjoints, de tous les chefs de service, de tous les animateurs présents sur le quartier, invitation pressante aux éducateurs,
Projection d’un film sur grand écran
Buffet bien garni après le show,
Le maire n’a pas lésiné sur les moyens pour assurer sa promotion.
Car il était là, clairement là, pour se mettre en avant, d’où son parallèle oiseux sur le couple et le rappel de leur amour que les conjoints devraient se faire (s’il s’agit d’amour entre Lett et
Beausoleil, c’est de l’amour tarifé ! au prix de ses indemnités cumulées), d’où aussi son affirmation gaillarde à son propre propos « qu’il y a encore du jus ! »(sic !).
Nous avons particulièrement noté sa fausse humilité, quand il déclare que les équipements des quartiers sont « les résultats de l’action de toutes les municipalités précédentes, la mienne et
celle du maire Pax »: il oublie simplement qu’entre les deux il y a eu René Ludwig et son équipe, dont l’action à Beausoleil est généralement reconnue. Quand on commence à réécrire
l’histoire, on n’est pas loin du totalitarisme ! (il est vrai que Sarkozy montre l’exemple en prétendant qu’il était à Berlin le soir du 9 Novembre 1989 ! http://decodeurs.blog.lemonde.fr/2009/11/09/sarkozy-etait-il-a-berlin-le-9-novembre-1989/ )
Les habitants de Beausoleil ne s’y sont pas trompé qui ont boycotté en masse cette caricature de démocratie participative. En effet comme le relate le Républicain Lorrain, il n’y avait que 30
« vrais » habitants et un nombre plus important de « convoqués malgré-eux » municipaux.
Quant au contenu, il est étonnant que le collectif qui rassemble les associations doive utiliser cette tribune pour exposer leurs propositions de réaménagement de la maison de Quartier, étonnant
également que les boulistes ne soient pas entendus dans leur demande de disposer d’un terrain convenable :
Le maire et ses adjoints prétendent qu’ils sont sur le terrain, ce n’est pas ce que disent les habitants et ces interventions en témoignent !
Il est apparu clairement que le Conseil de quartier ne peut accomplit sa tâche :
1/il est censé réunir les quartiers de Beausoleil et du Himmelsberg, mais une membre du conseil habitant le Himmelsberg se fait « engueuler » par le maire qui perd son calme,
lorsqu’elle s’étonne de ne pas avoir été invitée et « supprime » purement et simplement sa question ! Belle leçon de
démocratie !
2/Ni le président du conseil, ni le « conseiller municipal délégué pour la compétence Démocratie locale et Conseils de quartiers, vie associative » n’étaient à la
tribune, ni n’ont pris la parole, ce qui aurait pourtant été le moins pour promouvoir cet outil de la démocratie locale.
3/d’ailleurs les habitants du quartier ignorent en général l’existence même du Conseil de quartier et surtout sa composition, qui n’est en fait pas représentative de la
population du quartier.
Pourtant Beausoleil mérite et suppose des actions spécifiques ! Ce quartier est excentré, sa population est touchée de plein fouet par la crise. Les mauvais débats sur l’identité accroissent
les difficultés des jeunes à se situer.
Pourquoi ne pas réunir, sans vouloir en faire un show médiatique, les associations et groupes du quartier pour établir avec eux programme volontariste et structuré :
1/Beausoleil est excentré :
Il faut densifier les bus
Il faut créer un centre du quartier, comme à Welferding ou à Neunkirch. La Maison de quartier repensée et relookée
en serait le centre, mais il faudrait à proximité d’autres pôles de socialisation : par exemple un café ? Une épicerie ? Un Point presse ? Un Commissariat ? Une Annexe de
la mairie ? Un bureau de Poste ? Un cabinet médical ? Une pharmacie ? Ces idées ne sont pas toutes réalisables, mais il faut lancer le processus !
On pourrait commencer par une belle décoration de Noel, comme à Welferding ou à
Neunkirch .
2/Beausoleil a une population jeune, d’origine diverse : c’est sa richesse, mais fait-on tout ce qui est possible pour eux ?
La prévention : Il n’y plus d’éducateur en milieu ouvert à demeure
sur le quartier
La scolarité : Le soutien aux collégiens n’est pas
pérennisé : il a commencé cette année le 9 novembre, après que le département ait confirmé sa subvention !
Le sport : Il y a de nombreux clubs sportifs, mais combien ne sont
en fait pas ouverts aux jeunes du quartier.
Le Cybercentre ne fonctionne que très peu (et le maire dit que c’est
parce que tout le monde a un accès internet !)
Les ateliers jeunes ont beaucoup d’intérêt, mais leur ampleur est
limitée par les capacités d’encadrement.
Aires de jeu : On fait des parkings éclairés, mais pour cela on
supprime deux aires de jeu rue des Fauvettes et des Rossignols.
3/Le quartier est touché plus que d’autres par le chômage et l’insécurité.
Il faut maintenir et développer la présence des services publics sur place, y compris celle de la police municipale
et nationale.
Il faut remettre les animateurs et éducateurs dont les postes ont été supprimés.
Il faut développer les jardins ouvriers
Il y a des espaces verts, mais les locataires payent l’entretien deux fois : une fois sur leur loyer et une
autre sur leurs impôts locaux. Et le maire se vante d’y consacrer 5% du budget municipal des espaces verts !
Au fait, pourquoi avoir organisé en catastrophe et à grand frais une réunion à Beausoleil le 21novembre? On murmure à Beausoleil que cette décision a été prise parce que l’association GPS
organisait une soirée-concert gratuite la semaine suivante dans cette même maison de quartier. On voit par là où se niche le sens politique du maire !
Avec 100 150 demandeurs d’emploi de catégorie A, la Lorraine affiche une stabilité par rapport au mois précédent, sur un an la progression est de 30,1% en
Lorraine contre 25,1 pour la France. La Lorraine est au 4èmerang des régions pour la progression
annuelle du nombre de demandeurs d’emploi (données brutes).
La situation est particulièrement difficile notamment pour les zones d’emploi de Longwy et Thionville qui progressent de plus de 40% sur un
an.
A Sarreguemines, elle est « seulement » de 34,5% ! (devant Toul, Longwy, Thionville et Longwy)
Comme dirait le député-maire Lett : on n’a pas à rougir !
Mais pas de quoi se vanter non plus ! La progression est de 4,4% de plus que la moyenne Lorraine, et de 9,4% de plus
que la moyenne nationale !
J’ai souhaité par cette newsletter spéciale, apporter le
soutien des élus du Groupe Socialiste de la Région Lorraine au mouvement de défense des territoires, initié par le Parti Socialiste contre la réforme des
collectivités territoriales ou plutôt l’anti-réforme des
collectivités.
La gravité de la situation n’est pas une vue de l’esprit. Elle réside dans un enjeu simple, la survie de la décentralisation, de la
proximité, de l’initiative locale et d’une certaine façon de la démocratie.
Vous connaissez le proverbe : "quand on veut tuer son chien on dit
qu’il a la rage". Aujourd’hui, le gouvernement crie partout que les élus sont trop nombreux et trop coûteux, qu’ils
gaspillent l'argent public, qu’ils sont responsables de la dette abyssale de l’Etat, etc. etc. Bientôt ils nous diront peut-être que les élus sont responsables de la
fonte des glaces ! Je demande au gouvernement du sérieux, du discernement et moins de populisme sur une question aussi importante que celle de l’avenir des
collectivités territoriales.
A propos des 500 000 élus locaux - dont seulement 6000 sont élus départementaux et régionaux - j'affirme "quelle richesse
pour notre pays !" A propos des prétendus gaspillages je contre-attaque : "balivernes, lescollectivités territoriales assurent 73% de l’investissement public. Demandez aux entreprises du BTP, elles vous diront que les principaux prescripteurs sont les
collectivités !" Au sujet de la dette del’Etat je rappelle que "les collectivités doivent présenter obligatoirement des budgets en équilibre et ne sont pas autorisées à
s’endetter comme le fait l’Etat !"
Pour moi, "ces caricatures, ces dénigrements, tout
simplement ces mensonges,ne sont pas
acceptables." S’ils ne le sont pas non plus pour vous, alors il faut se mobiliser pour s’y opposer et dire notre attachement "à lacommunepour
la vie quotidienne, audépartementpour l’action sociale et à laRégionpour
l’avenir !"
Au final, à travers cette réforme, il ne s’agit pas d’autre
chose pour le gouvernement que d’affaiblir la gauche pour confisquer le pouvoir au profit d’un seul homme !
Je compte sur vous pour donner de la voix, pour faire enfler le mouvement et forcer la loi à aller plus loin dans la décentralisation
!
Jean-Pierre Liouville Président du Groupe Socialiste et Apparentés
au Conseil Régional de Lorraine
Ce texte est volontairement polémique. L’Assemblée Nationale est en train de discuter du … Grand Paris ! En soi, c’est déjà choquant :
cela sent le retour à l’époque d’avant la décentralisation où Paris c’était la France. Mais au-delà, les députés sont appelés à se prononcer sur un texte de loi qui
ne concerne, proportionnellement et en principe, qu’un très petit nombre d’entre eux. On sait bien qu’un député parisien doit valoir au
moins trois députés provinciaux mais quand même … ;
est critiqué par tout le monde, y compris les députés ci-dessus, jusqu’aux MEDEF et architectes qui ont planché sur la
question ;
est en contradiction, c’est habituel en Sarkozie, avec le discours qui fut prononcé sur le sujet par le président de la République, ou ce qu’il
en reste (pas du président, de la République), le 19 avril dernier. Ce jour-là il, le président, avait affirmé que « le Grand Paris appartient à tout le monde (…) tous les élus, tous les
maires » avant que leur soit confisqués, dans les mois qui suivirent, l’urbanisme puis le métro, c’est-à-dire les transports.Àse demander ce qu’il leur reste …
Mais au surplus, les députés
sont-ils fondés à se prononcer sur un projet régional sinon local – les parisiens dussent-ils s’en offusquer ; n’y a-t-il pas, dans les
termes, une contradiction évidente ?
sont-ils « capables » de juger, issus, lorsque bien sûr ils ne sont pas parachutés, des Alpes-Maritimes, des Pyrénées-Atlantiques, du
Finistère ou du Jura ?
Enfin, voit-on un député de la lointaine Moselle-Est, maire par ailleurs d’une petite ville qui
s’éteint sans qu’il soit en capacité d’enrayer le mouvement – si ce n’est le cas, qu’il le démontre ;
ne semble pas disposer d’une vue prospective très élaborée sur l’avenir de sa cité,
s’exprimer de façon compétente sur l’immensité d’un tel projet quand, localement, sur une si petite échelle, il y a tant à faire, que l’on peine
à faire, en admettant que l’on sache quoi faire̶ ce qui reste à démontrer ?
Céleste Lett ne prend pas de risque : pour être sûr d’une participation nombreuse, il offre le vin
chaud (chacun sait qu’on peut être généreux, quand c’est de l’argent public !)
Si vous n’avez pas la chance d’avoir été invité, enchérissez pour l’invitation sur E-Bay !
Après Fujicolor, Pierron, Johsons Control sur le bassin d’emploi de Sarreguemines, c’est, aujourd’hui, au tour du Pays de Bitche d’être le
théâtre d’un nouveau drame qui touche au cœur notre population.
FERMOBA, fleuron en son temps de l’industrie locale, connaît de graves difficultés, plongeant dans l’angoisse 142 salariés et leurs
familles.
Le 11 septembre dernier, le PS, par la voix d’Angèle Dufflo a interpellé Daniel Zintz, conseiller général du canton et président de Moselle
–Développement quant à la situation des salariés de Fermoba et à la possible liquidation de la société.
Aujourd’hui, devant la gravité de la situation, les élus et les militants des sections PS de Sarreguemines et du Pays de Bitche appellent à une
mobilisation générale pour sauver ce qui peut encore l’être.
Ils déplorent la destruction systématique de l’emploi industriel et l’absence de perspectives économiques pour notre
canton.
Ils demandent expressément au conseiller général et président de Moselle- Développement de réunir d’urgence
une table ronde avec tous les acteurs de territoire pour étudier le maintien des industries et des emplois existant et rechercher de nouvelles
implantations.
Ils proposent que les élus de l’arrondissement mettent en place un observatoire de la situation économique et de l’emploi afin d’anticiper les
difficultés et d’agir en amont.
Les sections PS de Sarreguemines, du Pays de Bitche et de Sarralbe assurent les salariés de leur soutien
sans faille et se disent prêtes à manifester à leurs côtés.
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