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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 21:57

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 LEMONDE.FR avec AFP | 12.01.11 | 13h57  •  Mis à jour le 12.01.11 | 14h01

En découvrant le titre ci-dessus, puis en lisant avec attention le texte incriminé ci-dessous , on s’est senti bêtement content : « au moins le répu, « notre » journal local, n’était pas concerné par cette promotion déguisée de l’actionnaire principal par lui-même". et on se disait « Nos journalistes locaux ne sont peut-être pas très syndicalisés, mais au moins ils sont restés des journalistes à qui on ne refourgue pas du publi-rédactionnel masqué »

 

Las !!

 

Au nom de la mutualisation de l'information, Le Républicain Lorrain a passé le même article. Nos journalistes locaux n’ont pas réagi. Ils ne sont donc pas très syndicalisés, mais ils ne sont pas non plus des journalistes indépendants !

 

http://www.republicain-lorrain.fr/fr/permalien/article/4442288/Relogement-un-premier-village-sort-de-terre.html

Extrait :Le premier projet ambitieux de « reconstruction » en dur d’Haïti ne verrait pas le jour sans le Crédit Mutuel. « Le surlendemain du séisme, j’ai appelé Michel Lucas, pdg du Crédit Mutuel, que je connais bien."

 

Quelle déception ! Mais surtout quel danger que celui du monopole d’un groupe bancaire sur tous les journaux du Grand-est !

 

Il ne reste plus qu’à espérer que l’autorité de la concurrence ne donne pas son accord à la reprise de l’Est Républicain et que la Gauche, quand elle reviendra au gouvernement donne un vrai statut aux groupes de presse pour empêcher ce type de dérives dont Sarkozy et ses amis sont complices.

  


 

l’article du Monde

Les syndicats de L'Alsace et des Dernières nouvelles d'Alsace (DNA) ont protesté contre la publication dans leurs journaux, mercredi 12 janvier, d'un reportage sur une opération humanitaire du Crédit mutuel en Haïti. Selon les syndicats, ce reportage "met en exergue une action humanitaire particulière du CIC-Crédit Mutuel".

Or, les syndicats de ces titres de presse contrôlés par le Crédit mutuel dénoncent les "pressions" de la banque. Ils s'inquiètent, d'une part, de "la mutualisation et (de) l'uniformisation des titres", et d'autre part, d'une éventuelle "forme de retour sur investissement". "Une telle attitude ne peut que nuire à l'impartialité et à la crédibilité des journaux concernés", déplorent-ils.

La CFDT de L'Alsace évoque pour sa part des "pressions mutualisées" et un "fâcheux précédent".

LA BANQUE SE REFUSE À TOUT COMMENTAIRE

L'article mis en cause, signé dans les DNA par Thierry Dromard et non signé chez son concurrent direct L'Alsace, évoque la construction du "premier projet ambitieux de reconstruction en dur d'Haïti", celle de 154 logements à Port-au-Prince, qui "a reçu le soutien de Michel Lucas, PDG du Crédit mutuel", sans qu'il soit fait mention du statut d'actionnaire principal de la banque. Le reportage a été publié sur le site internet de L'Est Républicain mais pas dans la version papier du journal, dont les syndicats n'étaient pas au courant de la polémique.

La direction du Crédit mutuel à Strasbourg s'est refusée à tout commentaire. De son côté, la direction des DNA était injoignable.

La banque Crédit mutuel a pris en novembre le contrôle du groupe L'Est Républicain, dont font partie les DNA. Elle devrait ainsi devenir, sous réserve de l'accord de l'Autorité de la concurrence, le premier groupe de presse quotidienne régionale français. Ce monopole dans l'Est de la France avait aussitôt été dénoncé par les syndicats inquiets des conséquences pour l'emploi et le pluralisme de l'information.

 

« Le Crédit Mutuel, la banque qui écrit ce qu’il faut penser »

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 21:58

Pour bien démarrer cette nouvelle année, l’ADPSE organise une soirée dansante le 22 janvier prochain. Voir affiche dessous:

 

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 23:14

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J’ai un chauffage central au gaz et je me suis récemment équipée d’une chaudière à condensation, car « on » m’avait convaincue que c’était le moyen le moins cher, le plus efficace, le moins polluant de se chauffer.

 

Mais si j’ai bien compris, à la lecture des documents cosignés par L’ADPSE (lettre ouverte à la ministre Nathalie Kosiusko-Morizet et Contribution la consultation publique du ministère de l’écologie sur les tarifs et conditions d’accès aux réseaux de transports de gaz naturel) :

 

il va falloir investir 3 Milliards d’Euros sur les réseaux pour faire face à la demande accrue à cause des centrales aux gaz et ce sont les citoyens et les abonnés qui vont payer la facture ?

il y aura risque de « congestion », c'est-à-dire que je ne reçoive plus de gaz en plein hiver ? Je devrais alors allumer des chauffages d’ appoint électriques qui utiliseront l’électricité produite par Hambrégie avec le gaz qu’ils me volent ?

 

mais peut-être ai-je mal lu? Je publierai la réponse de Direct Energie

 

            Jean Mayer

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 08:12

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Un lourd dossier !

nous publions la lettre de Aurélie Fillipetti, dont on connait l'attachement aux mines et le communiqué de la CGT sur le sujet.

On attend avec intérêt et impatience la prise de position du député Lett sur le sujet: de nombreux Sarregueminois et habitants de la circonscription sont concernés!

 

 


 

 

Publié le mardi 4 janvier 2011.

 

Un rapport sur le régime minier, rédigé par le député du Bas-Rhin Yves Bur de l’UMP, vient d’être remis au Ministre de la Santé.

Il préconise une absorption du régime de Sécurité Sociale des Mineurs par le Régime général pour des raisons démographiques et budgétaires.

Soulignons que cette mission a été décidée par le Gouvernement, suite aux importantes manifestations des mineurs, au printemps dernier, s’opposant à la remise en cause de la gratuité des soins.

Faut-il encore rappeler la parution le 31 décembre 2009 en catimini du décret n° 2009-1987 qui supprimait le remboursement des déplacements des affiliés vers les spécialistes et l’arrêt de la prise en charge du transport et de l’hébergement pour les cures suivies par les nombreux mineurs souffrant d’affections pulmonaires ?

Cette mesure remet en cause la possibilité de se soigner pour les nombreuses veuves de mineurs dont les pensions sont très faibles. Tous les syndicats des mineurs, les acteurs de terrain et la plupart des élus ont marqué leur opposition à ces mesures.

Or, le rapport du député Yves Bur préconise le maintien de ce décret tout en remettant en cause l’existence même du régime spécial : c’est une provocation envers les affiliés du régime.

Rappelons aussi l’absence de toute évolution significative concernant le dossier de la revalorisation des pensions minières alors que le Président de la République s’y était engagé explicitement lors de sa campagne électorale !

Au vu du mépris affiché par le Gouvernement tout au long des mois précédents, je comprends la réaction de rejet total de ce rapport par tous les acteurs de Moselle-Est. Ils craignent, à juste titre, l’emploi de la méthode "du fait accompli" déjà testée lors de la réforme des retraites.

Je demande que toute ouverture sur une évolution du régime minier soit précédée par l’abrogation du décret n°2009-1787 du 31 décembre 2009 et une concertation véritable sur l’évolution des pensions minières.

Ces gestes de bonne volonté permettraient de regagner la confiance des acteurs de terrain envers le gouvernement.

Aurélie FILIPPETTI,

députée de Moselle. 


 

 

 

La Fnme CGT communique                                                                                                                     

 

Montreuil le 22 déc 2010

Ce Me 22 déc, le gouvernement souhaite de joyeuses fêtes aux mineurs en annonçant la liquidation de leur régime spécial de sécurité sociale.

Il y a 1 an le 31 déc, le gouvernement annulait par décret la possibilité par une aide aux transports, pour beaucoup de mineurs anciens de se soigner. Les affiliés avaient manifesté en nombre à Paris en Mars pour en exiger l’annulation car les renoncements aux soins avaient explosé.

Les personnels du régime minier de sécurité sociale, inquiets des manques de perspectives de l’offre de santé minière livrée à la gestion associative et sur le devenir de leurs emplois étaient présents en nombre également.

Devant cette mobilisation, le ministère avait renvoyé à une mission d’étude ces 2 questions en la confiant  à un parlementaire UMP  M. BUR. Ce rapport, daté d’octobre, remis étrangement hier au ministre de la santé, a été rendu public par une mise sur internet et n’a même pas été remis officiellement aux fédérations de mineurs. Quel mépris !

Le ministère se fendant déjà en fin de journée d’un communiqué de presse annonçant une pseudo concertation car annoncée sur la base des conclusions du rapport…  qui ne répond en rien aux interrogations et au revendications des mineurs et personnels.

La CGT avec les fédérations syndicales de mineurs avaient dénoncé la démarche ‘orientée’ de ne confier cette mission qu’à un parlementaire de la majorité tout en incluant dans sa lettre de mission  des éléments décalés de ce qui est attendu par les mineurs et personnels.

Il y a plusieurs semaines, les fédérations avaient par avance, au vu des annonces faites par ledit député lors de ses passages dans les bassins miniers, les préconisations supposées du rapport. Nous nous attendions à du hors sujet sur les revendications de la corporation. C’est bien pire, c’est le mépris affiché.

Des 21 qu’il contient, 2 sont en rapport avec l’objet de la mission, sur le 2-2.b en confirmant  sa suppression et sur les personnels dont la demande de sécurisation est rejetée.

Les autres torpillent toutes les perspectives d’évolution du régime ou des activités et établissements comme le PTU en Lorraine, et actent la concrétisation d’une liquidation sans appel du régime spécial en l’éclatant, en appelant au transfert vers le régime général ou des associations ou d’autres organismes. Le régime est invité à se désengager de l’Ahnac, association hospitalière du Nord, dont il est un des piliers. Les personnels étant appelés à se faire hara-kiri sur leurs espoirs de sécurisation de leurs emplois.

Pour la CGT, la pseudo concertation annoncée par le ministre est factice car comment pourrait-elle se dérouler dans le cadre du maintien des droits des assurés alors qu’est torpillée l’offre de santé qui est souvent la seule à disposition des mineurs qui plus est avec tous ces préalables actant la liquidation du régime minier ?

D’autant que parallèlement, à une interpellation interfédérale de la Présidence de la République il nous est répondu qu’aurait été décidée l’organisation de la dissolution du régime minier au 1er septembre… Confusion entre la fin de l’embauche au régime que la CGT a dénoncé encore ce 15 déc au CA CAN devant les ministères ?

Les masques tombent : le gouvernement est pris la main dans le sac de ses basses manœuvres pour asphyxier la corporation minière après avoir organisé la liquidation des mines, refusé de corriger les injustices sur les retraites minières et être revenu sur son engagement que les mineurs ne seraient pas concernés par la réforme des retraites.

Les personnels et affiliés, l’ensemble de la corporation ne peuvent que  se dresser ensemble pour mettre en échec ces funestes projets, obtenir la garantie de leurs droits et acquis, l’accessibilité aux soins gratuits de qualité et de proximité qui leur est due. La Fnme-CGT les y invite et l’organisera avec eux.

 

 

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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 09:13

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L’année 2010 aura été marquée par son lot de catastrophes et surtout par ce sentiment croissant de perte de repères et d’impuissance face à la mondialisation libérale.

 

Le gouvernement  nous promet pour 2011 une croissance (revue à la baisse)  autour de 2%, alors que les experts de l’OCDE tablent sur 1,6%.

 

Nous savons tous au quotidien que les hausses des coûts de l‘énergie, des tarifs publics, des impôts, des loyers, des assurances, de l’alimentation viendront réduire à néant cette croissance annoncée. Nous savons tous aussi que les gains de pouvoir d’achat sont de plus en plus inégalement répartis : les riches le sont de plus en plus, les classes moyennes et le plus démunis sont de plus en plus contraints à des choix budgétaires difficiles, à « taper » dans leur épargne ou à faire appel à l’aide caritative.

 

Il serait irréaliste de croire que ces problèmes seront résolus en 2011, car la solution passe par un changement de gouvernement et des règles au niveau européen et  mondial pour réguler les flux financiers et de marchandises : le système libéral a bien montré que son objectif est d’enrichir une minorité de privilégiés au détriment de la majorité et de la planète. Ce système n’est pas la solution, il est le problème ! Et avec lui ses défenseurs !

 

Mais il ne faut pas désespérer et nous voulons ici mettre en évidence quelques lignes directrices nous permettant de reprendre espoir et de donner plus de sens à notre vie à Sarreguemines comme ailleurs:

 

Faisons de la résistance ! Dépensons mieux : notre pouvoir d’achat baisse ? En tout cas pour ceux d’entre nous qui ont (encore ?) « la tête hors de l’eau », augmentons la qualité de nos dépenses : au quotidien, chacun peut choisir d’aller à pied acheter le pain plutôt que de prendre sa voiture, ou son vélo ou un bus. Ceux qui ont un jardin ou un balcon peuvent faire pousser quelques légumes. Plutôt que d’aller passer une semaine « all inclusive » dans un pays à la démocratie inexistante ou approximative, pourquoi ne pas essayer le camping et les chambres d’hôtes ? Plutôt que de s’acheter le dernier smart-phone ou écran plat, pourquoi ne pas poster une lettre à ceux qu’on aime et inviter quelques amis autour du feu ? Quelques exemples pour essayer de montrer qu’on peut dépenser mieux ! Mieux pour notre esprit et mieux pour la planète.

 

Indignons-nous et agissons : citons simplement Stéphane Hessel : « regardez autour de vous, vous y trouverez les thèmes qui justifient votre indignation – le traitement fait aux immigrés, aux sans-papiers, aux Roms. Vous trouverez des situations concrètes qui vous amènent à donner cours à une action citoyenne forte. Cherchez et vous trouverez ! » Ajoutons que le bénéfice immédiat est pour chacun le bonheur d’agir pour l’autre et le sentiment d’être utile et de donner un sens concret à son activité quotidienne. De nombreux groupes et associations existent à Sarreguemines. Nous les saluons chaleureusement et les assurons de notre soutien actif. Des décisions politiques locales peuvent rendre ses actions individuelles et collectives plus faciles et plus efficaces.

 Nous saluons ici l’ensemble des employés municipaux, particulièrement ceux qui ont été sur le pont autour des fêtes pour dégager les espaces et voies publiques.  Nous leur souhaitons des cadres compétents et dévoués- ce sera le cas avec le nouveau directeur des services- et les assurons de notre implication, à la mesure de nos moyens, pour améliorer l’efficacité des services publics locaux.

 

Impliquons-nous dans le changement de la société : les règles ne changeront pas d’elles-mêmes ! Il faudra la participation active des citoyens à tous les niveaux. Comme cela a souvent été dit « la démocratie ne s’use que si on ne s’en sert pas » et lorsque la démocratie s’use, les inégalités sociales augmentent ! À Sarreguemines comme partout on peut s’impliquer directement dans l’action politique, qui est le seul niveau où se modifient les règles. On peut et on doit aussi voter, particulièrement  pour les candidats les plus porteurs d’espoir de changement.

 

Très concrètement, même si c’est très modestement,  les élections cantonales de Mars 2011, avant la présidentielle de 2012,  seront une occasion de protester contre  un pouvoir cynique qui ne se préoccupe que de ses propres intérêts et une occasion de choisir le progrès social contre les profiteurs de tout poil.

 

Au-delà des vœux que nous formons pour que la vie soit douce à chacun en 2011 et vous épargne des épreuves de la vie, nous souhaitons surtout que chacun prenne plus de prise sur sa vie et son environnement proche : c’est en soit déjà un gage, sinon de bonheur, au moins de satisfaction et du sens de l’utilité personnelle.

 

Meilleurs Vœux !

 

Eric Kamblock, Jean-Claude Moulay, René Basset- conseillers municipaux

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1 janvier 2011 6 01 /01 /janvier /2011 19:41
Recyclons et citons in-extenso le texte de Wikipédia sur le sujet.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. http://fr.wikipedia.org/wiki/Agriculture_urbaine  

L’agriculture urbaine est une forme émergente de pratiques agricoles en ville, généralement en parcelles partagées, ou en jardins, individuelles et/ou collectives.
Cette notion recouvre différents types de production d'intérêt économique local, de plantes, champignons (ex : champignons de Paris), de végétaux ou d'animaux sur le territoire urbain ou sur les espaces le jouxtant.
Un concept relevant encore de la prospective, mais faisant l'objet d'études, voire de projets à moyen terme est celui de l'Agriculture verticale.

Ferme urbaine à Chicago
Maraîchage urbain sur une parcelle située devant la gare d’Ezhou en Chine.
Une gestion différenciée des espaces verts peut être (à certaines conditions, par exemple de non-pollution de l'eau, du sol, de l'eau d'irrigation) source d'une biomasse d'intérêt pour une petite agriculture urbaine, ici à Kstovo (Russie).

L'agriculture urbaine est une des solutions proposées et recommandées par l'ONU et la FAO[1] pour faire face aux besoins de sécurité alimentaire[2] aux défis de l'urbanisation et de la périurbanisation, notamment dans les villes des pays dits pauvres. En effet, selon la FAO, l'agriculture urbaine et périurbaine est déjà utilisée par environ 700 millions de citadins (une personne sur 4 environ dans le monde), et si la tendance se poursuit, en 2030, la presque totalité de la croissance de la population se fera dans les villes des pays émergents et environ 60 % des habitants de ces pays seront des urbains[2].

Certains écoquartiers ont intégré une ferme urbaine dans leur périmètre (exemple : E.V.A. Lanxmeer, écoquartier d'environ 250 maisons et bureaux aux Pays-Bas).
Des architectes, urbanistes et prospectivistes ont aussi imaginé des projets d'agriculture verticale (dans de grandes tours de plusieurs dizaines d'étages), parfois avec une perspective de relative autonomie alimentaire. Souvent l'écoquartier cherche à mettre en place un dispositif de type AMAP à proximité.

Sommaire

 

Types de production

  • Maraîchage
  • Petits élevages (volaille, pigeons, lapins principalement), particulièrement fréquents dans certains pays en développement ou régions de Chine, freinés à l'occasion de l'expansion du virus H5N1 qui semble avoir été principalement transporté par le commerce des volailles et les marchés de volaille vivante.
  • arbres fruitiers (ex. : pommeraie au cœur de l'écoquartier d’Eva-Lanxmeer aux Pays-Bas, répondant aux besoins annuels des habitants en pommes et jus de pomme) ou pouvant avoir une certaine valeur symbolique NAOUFEL, Day. Vers une représentation symbolique de l'arbre fruitier en milieu péri-urbain, le cas de Chambourcy et de ses environs. Mémoire de DEA de l'école d'architecture de Paris-la-Villette et de l’EHESS, 1995.

Les grands objectifs

Ils sont de deux grands types :

  • Ce sont des objectifs économiques et alimentaires directs, éventuellement de survie dans les pays plus pauvres, pour les plus démunis ; elle est parfois un des moyens de résolution de problèmes posés par la gestion de certains déchets urbains (biodégradables ou susceptibles de nourrir des animaux) ;
  • Outre, une vente directe intéressante pour l'agriculteur et l'urbain, ce sont plutôt les fonctions sociales ou pédagogiques qui sont valorisées dans les pays dits « développés ». Il existe ainsi des fermes pédagogiques ou faisant travailler des handicapés ; l'objectif de production y existe, mais est secondaire. Certains parcs urbains (ex. : en France, le Parc de la Deûle au sud de la communauté urbaine de Lille) intègrent une agriculture de proximité, avec l'idée de coupure verte, de parc de campagne[3] ou de « pause urbaine »[4].

Avantages

  • Une agriculture urbaine et de proximité permet des boucles en « cycle court », diminuant les coûts, les émissions de CO2 et le besoin en énergie et en carbone fossile.
  • Autoproduction pour une partie des besoins (en fruits et légumes par exemple).
  • Recyclage rapide de certains déchets organiques (en veillant à limiter et suivre les risques de pollution).
  • Outil (parmi d'autres) de protection du foncier face au front d'urbanistion[5], de maintien de coupures « vertes »[6] contre l'urbanisation totale et la périurbanisation...
  • Lien de rencontre ville-campagne, rural-citadin[7],[8].

Inconvénients, difficultés

  • Limite en outre l'appel aux chaînes de transport et de conservation coûteuses en engins, machines et carburants, en rendant les populations plus autonomes.
  • La présence de certains animaux est source de bruit (chant du coq, meuglement, bêlements, aboiements, etc.).

Limites et difficultés

Les principales contraintes et difficultés sont :

  • le coût du foncier, ou le manque de foncier disponible ;
  • la pression de l'urbanisation, et de la périurbanisation ;
  • la dégradation (dérangement, artificialisation, surfréquentation, pollution) que la ville peut occasionner aux milieux fragiles qu'elle jouxte ou entoure (sols, zones humides utilisées pour le maraîchage et hortillonnages, agrosylviculture, forêts de protection, forêts urbaines[9] ;
  • les pollutions qui affectent souvent les sols urbains et périurbains encore disponibles pour l'agriculture urbaine ;
  • l'accès à l'eau (souvent déjà rationnée dans les zones arides) ;
  • les risques sanitaires induits par l'usage de boues d'épuration ou urines et excréments mal compostés ou non sécurisés du point de vue sanitaire ;
  • certains risques liés aux élevages semi-industiels (ex. : grippe aviaire ou autres zoonoses, mauvaise gestion des déchets, etc.) ;
  • l'impact de la délinquance (vol, branches de fruitiers cassées, etc.) est généralement plus important en zone urbaine, et pose des problèmes particuliers de responsabilités, gestion et surveillance ;
  • le contexte urbain ne favorise pas la mécanisation agricole, dont l'absence relative peut toutefois peut-être être compensée par un moindre besoin de stockage, de transport, etc. Ceci explique que le maraîchage est bien plus courant en contexte urbain que la céréaliculture ou le gros élevage.

Financement

Selon les contextes, des aides des collectivités, de banques solidaires, ou de type Tiers-investisseur existent ou sont théoriquement possibles (notamment via des systèmes de type jardins partagés, jardins ouvriers, jardins familiaux, etc.). Parfois, c'est un groupe de citoyens motivés qui cherche à mettre en place une zone d'agriculture urbaine ou périurbaine pour répondre à ses besoins.

En France

Un programme de recherche Agriculture urbaine a été initié par l’ENSP, dans le cadre d'un intérêt pour les formes nouvelles d'agriculture durable, en ciblant surtout les fonctions non alimentaires de l'agriculture urbaine ou périurbaine (fonctions aménitaires, entretient et gestion restauratoire de l'eau et des espaces ouverts, lagunage naturel, aménités paysagères, culture, pédagogie à l'environnement, etc). Il a notamment porté sur la région parisienne[10],[11],[12].

Les marais de Bourges sont classés depuis 2003 sur la liste des Monuments Naturels et des Sites et forment une enclave d'agriculture urbaine de 135 ha[13][14].

Voir aussi

Lien externe

Bibliographie
  • Pierre Donadieu ; Campagnes urbaines ; 1998, Actes Sud / École nationale supérieure du paysage de Versailles (Description de l'ouvrage par l'INRA).
  • BOISOT, Hélène. Les représentations de l'agriculture péri-urbaine : Périgny-sur-Yerres ou l'utopie d'un lieu de rencontre entre le monde rural et le monde citadin. Mémoire de DEA de l'école d'architecture de Paris-la-Villette et de l'EHESS, 1995.
  • Charles-Materne Gillic, Corinne Bourgery, Nicolas Amann ; L'arbre et Lionel CHABBEY et Pascal BOIVIN (deux pédologues) ; "L'arbre en milieu urbain" ; Ed: Infolio ; Collection: Arch.paysage ; 28-11-2008, 216 pages.
Notes et références
  1. Rapport de prospective sur l’urbanisation, World Urbanization Prospects, rendu public en octobre 2006
  2. a et b Page de la FAO sur Agriculture urbaine et sécurité alimentaire Journée mondiale de l'environnement : des villes plus vertes [archive]
  3. JACQUEY, Lionel, LAFFRANCHY, Elodie. Projet de paysage pour un parc de campagne dans la plaine de l'Aulnay. Ministère de l’Environnement, ministère de l'Agriculture, ENSP, Versailles, 1996, 52 p.
  4. FRANCOU, Valérie. Pour une pause urbaine en boucle de Chanteloup-les-Vignes. Mémoire de paysagiste DPLG, Versailles : ENSP, 1996, 33 p.
  5. MARZIN, Lena. L'agriculture dans le secteur de la Seine aval. Propositions pour les espaces à fonction de coupure verte et de maîtrise des fronts urbains. Versailles : Conseil général des Yvelines, ENSP, laboratoire de recherches, 1996, 63 p.
  6. BERNARDON, E., CHABAUD, J., GUIOMAR, X. L'agriculture dans les secteurs d'Orgeval et d'Aubergenville, propositions pour les espaces à fonction de coupure verte et de maitrise des fronts urbains. Sous la direction de A. Fleury, Conseil général des Yvelines, ENSP Versailles, 1996, 125 p.
  7. BOISOT, Hélène. Les représentations de l'agriculture péri-urbaine : Périgny sur Yerres ou l'utopie d'un lieu de rencontre entre le monde rural et le monde citadin. Mémoire de DEA de l'école d'architecture de Paris-la-Villette et de l'EHESS, 1995.
  8. DUMONT-FILLON, Nathalie. Un parc de campagne dans la vallée de la Mérantaise : le parc des girouettes. Mémoire de paysagiste DPLG, ENSP, Versailles, 1995, 114 p.
  9. CERBELLE, Lydia. Étude écologique des lisières forestières du quart sud-est du Val-de-Marne. IUP, option espaces et milieux, Paris VII, 1996
  10. DONADIEU, P. et FLEURY, A. (sous la direction de). Programme de recherche « Agriculture urbaine », rapport d'étape, 1ère phase : méthodologie et diagnostic dans deux sites d'Ile-de-France, la boucle de Chanteloup-les-Vignes et la plaine de l'Aulnay. Ministère de l'Environnement, ministère de l'Agriculture, ministère de l’Équipement, 1995.
  11. DONADIEU, P. et FLEURY, A. (sous la direction de). Programme de recherche « Agriculture urbaine », rapport final : 1994-1997. Ministère de l'Environnement, ministère de l'Agriculture, ministère de l’Équipement, Conseils généraux des Yvelines et du Val-de-Marne, 1997.
  12. DUMONT-FILLON, N., MARZIN, L., PRUDHON, G. (sous la direction de FLEURY, A.). Projet d'agriculture urbaine pour le plateau Notre-Dame (Val-de-Marne). Versailles : ENSP et Conseil général du Val-de-Marne, 1996, 195 p. et cartes.
  13. http://marais.er.gs [archive]
  14. http://www.ville-bourges.fr/environnement/marais.php [archive]
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28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 17:51

 

mir-redde-platt.jpg

 

Il n’est pas si fréquent que notre député de base soit actif en tant que législateur, il est donc légitime de s’interroger.

 

http://www.assemblee-nationale.fr/13/propositions/pion3055.asp

 

Nous sommes d’ardents défenseurs du plurilinguisme et des langues régionales,

 en particulier dans l’enseignement public pour tous. On ne peut donc que se féliciter qu’un cadre législatif vienne les protéger et permettre leur développement.

 

On peut toutefois craindre que ce projet de loi ne soit comme tant d’autre qu’un effet d’annonce à portée électoraliste.

 

On peut aussi craindre que cette loi ne vienne encore ajouter aux dépenses des régions, alors qu’elles sont de plus en plus muselées sur le plan financier. La région Lorraine n'a au demeurant pas attendu une loi pour s'impliquer dans la défense et le développement des langues étrangères et régionales.

 

Quand on sait les coupes franches en matière de postes d'enseignants, quand on a entendu le discours du Recteur qui annonce sans rire que tous les enseignements de langues à de petits effectifs sont menacés, on peut penser que c'est un cadeau empoisonné.

 

 

Pour s’en convaincre on lira  avec intérêt les notes ci-dessous rédigées par la vice-présidente du conseil régional Angèle Dufflo :

 

« De la mobilité linguistique

 

Le Conseil Académique des langues et cultures régionales réuni par le Recteur le  mercredi 15 décembre avait comme objectif de faire le bilan de l’enseignement des langues régionales et d’entrevoir des perspectives à travers le plan pluriannuel pour le développement des langues et cultures régionales.

 

En termes de statistiques et pour tous les degrés d’enseignement, les résultats sont satisfaisants grâce aux efforts de formation et d’investissement des enseignants.

 

Par contre, les rapporteurs font état d’une baisse généralisée des effectifs en allemand.

 

Cette baisse est sensible pour les collèges, les lycées et les classes européennes.

 

A noter également un recul sur l’enseignement paritaire.


Des inquiétudes se font jour quant à la promotion de l’allemand comme langue régionale. (Double statut de l’allemand en tant que langue régionale et langue étrangère).

 

Le Recteur précise qu’en application du non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux, 16.000 postes seront supprimés en 2011 ;

L’académie Nancy-Metz devra rendre 640 postes et bien au-delà en raison de la nécessaire solidarité nationale.

 

L’enseignement des langues à de petits effectifs sera directement menacé (allemand-luxembourgeois mais aussi latin et grec).

 

Les accords binationaux entre la France et l’Allemagne ne seront plus respectés.

 

Il en ressort qu’il devient urgent et nécessaire de resituer le débat sur l’apprentissage des langues et cultures régionales.

 

La maitrise de l’allemand répond plus que jamais à une réalité culturelle  du quotidien de notre région transfrontalière  et à une nécessité sur le marché du travail, la mobilité linguistique est dorénavant une impérieuse obligation.

 

La Région Lorraine agit utilement et concrètement pour faciliter l’apprentissage de l’allemand à travers des dispositifs qui ont fait leurs preuves.

 

Aujourd’hui et dans un contexte interrégional dû à notre positionnement géographiques aux portes de l’Europe et à notre dynamique transfrontalière, il nous faut aller plus loin.

 

Une réflexion sur l’apprentissage de la langue allemande et luxembourgeoise est prioritaire afin de déboucher sur des décisions et des projets concrets.

 

Il nous faudrait réaffirmer la position de la Région, poser la maitrise de l’Allemand comme enjeu essentiel de la grande Région. »

 

Angèle Dufflo, Vice-présidente déléguée aux Actions régionales relevant du Patrimoine de l'Institution

 

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28 décembre 2010 2 28 /12 /décembre /2010 10:57

RL101214.png               RL 101226

Texte adressé le 15/12/2010 à la rédaction de Sarreguemines du Républicain Lorrain

repris partiellement par le RL le 26/12/10:

 

L’article que vous avez fait paraître le 14 décembre au « Journal de Sarreguemines » sous le titre « Éco-zone : un lotissement et des bureaux pour démarrer » a retenu, comme bien vous vous doutez, toute notre attention. C’est pourquoi il appelle de notre part un certain nombre de remarques qui, nous l’espérons, trouveront elles aussi leur place dans une de vos prochaines éditions.

 

La Rotherspitz, écrivez-vous, « s’apprête à changer de physionomie ». C’est le moins que l’on puisse dire. Mais ce qui nous intéresse ici, ce sont les conditions dans lesquelles ce changement de visage s’effectue. Il s’agit, nous n’en doutions pas, d’un « projet sur lequel l’architecte Brice Auert planche depuis de longues années (…) Il a vu là une incroyable opportunité de développement urbain ». De cela aussi nous sommes persuadés. Mais n’a-t-il pas vu là, surtout, une belle opportunité pour lui ?

 

En soi, cela ne serait pas choquant … sauf que nous sommes dans l’esprit du domaine public et que nous aurions préféré que « l’incroyable opportunité », n’ayons pas peur des mots, vînt de la municipalité ; que nous aurions jugé opportun que les riverains, qui n’apparaissent jamais dans le schéma, ne soient pas ignorés. Est-il besoin à cet égard de rappeler que, conformément à ce qui semble devenir une mauvaise habitude de nos responsables locaux, l’enquête publique ait été lancée après le début des premiers travaux d’aménagement ? Les riverains ont apprécié, tout comme ils risquent d’apprécier les embarras supplémentaires de circulation que générera ce nouvel ensemble,  y compris dans la perspective du contournement car, si la copie n’est pas revue en ce qui concerne l’utilisation de la route de Nancy, la rue de la Montagne deviendra le principal axe de sortie, sinon le seul, de Sarreguemines intra muros vers le sud et le sud-ouest.

 

Les riverains aiment aussi la perspective de l’installation de Mac Donald, tout comme ils aimeront encore plus les « arômes délicats », pour ceux qui sont à proximité ou sous les vents dominants ; ou les reliefs divers –  frites, emballages et contenants, papiers gras – qui, l’expérience le montre, ont une fâcheuse propension à se répandre aux alentours de ce genre d’établissement. Nous ne savions pas, non plus, que cette enseigne était éligible aux préceptes environnementaux compris dans leur acception large. Enfin rappelons que Sarreguemines, pour 24000 habitants, comptera ainsi trois offres (toutes en périphérie) de restauration rapide, ce qui au royaume de la « mal-bouffe », non discuté par nos décideurs, fait beaucoup pour la santé de nos concitoyens. Quelle est la cohérence générale de tout cela ?

 

De la même manière nous a-t-on annoncé fièrement la construction d’un hôtel. Encore faudra-t-il trouver un investisseur. En toute bonne logique n’aurait-on pas dû commencer par là ? Après l’installation d’un établissement à Hambach le marché est-il encore (ou devenu) porteur, si tant est qu’il l’ait été un jour ? Car comment expliquer le refus des hôteliers de la cité devant les précédents projets ? Ont-ils changé d’avis ? Les perspectives de développement de Sarreguemines seraient elles si peu visibles ou convaincantes qu’aucune chaîne ne soit prête à risquer un investissement ? D’où viennent donc toutes ces hésitations, et où les insuffisances de ce dossier si mûrement et longuement réfléchi se situent-elles ?

 

Il reste un point à éclaircir, celui du concept d’éco-quartier, qui va bien au-delà des éléments mentionnés, à savoir les « récupération des eaux de pluie, utilisation de matériaux écologiques, forte implication végétale », auxquels il convient d’ajouter une mixité sociale prévue. Nous allons donc citer quelques textes. En fait de récupération des eaux de pluie « pour leur réutilisation dans le quartier » il s’agit, en plus, de « gestion de l’eau » c’est-à-dire du « traitement écologique des eaux usées », de leur « épuration » et de la « protection de la nappe phréatique » ; en fait d’implication végétale il faut parler de « protection des paysages » et d’une « approche des espaces naturels comme valeur ajoutée » préservant la biodiversité ; en guise d’ « éclairage soigné » c’est en termes de « bilan énergétique neutre  voire positif » qu’il convient de raisonner. Tout cela est autrement contraignant que ce que l’on laisse apparaître. De surcroît, les bâtiments doivent répondre à la norme HQE (haute qualité environnementale) et toute construction doit utiliser des matériaux certes écologiques, mais locaux ; les déplacements doivent être « propres, alternatifs à la voiture individuelle » - notion de « transports doux » dont il résulte que le parking de cent cinquante places est en parfaite contradiction avec la définition.

 

 Dans ces conditions, évoquer un « éco-quartier » serait au mieux un abus de langage, au pire une mystification.

 

Éric Kamblock, Jean Claude Moulay, René Basset - Conseillers municipaux GPS

bandeau blog copie 4

 

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 12:28

Cherchez l'erreur !

 

 

quad-neige-sarreguemines.jpg

 

pour ça , il n'y a pas d'argent!

 

 

 

ecran-plats-sarreguemines-2.png 

pour ça il y en a !

 

 

 

Les habitants qui doivent marchent dans la gadoue en plein centre ville, les commerçants privés de clients, et les employées municipaux qui travaillent dans des conditions difficiles ne disent pas merci au maire qui a décidé d'acheter 6 écrans plats XXL pour la salle du conseil municipal et le confort des conseillers municipaux myopes.

 

on a les priorités qu'on veut ou qu'on peut, car, en l'espèce

quelle courte vue , Monsieur le Maire !

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 08:45

video-surveillance-a-sarreguemines.png

 

saluons l'initiative citoyenne !

 

http://sarregueminescam.wordpress.com/

 

nous dénonçons depuis notre élection l'installation de caméras de vidéo-surveillance à Sarreguemines.

 

Nous en serons bientôt à 27 !

 

Elles ne luttent pas contre l'insécurité, seulement contre le sentiment d'insécurité lui-même, autrement dit la dépense est à comptabiliser au rang des dépenses de marketing politique et de de frais de campagne  en vue de la ré-élection !

 

Pour lutter contre l'insécurité elle-même, il faut la police de proximité dans tous les quartiers et améliorer l'emploi et le pouvoir d'achat des plus démunis.

 

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