leçon de vocabulaire

comment appelle t'on un citoyen qui ne respecte pas les lois ?

un délinquant?

un voyou?

un bandit?

comment appelle t'on un élu de la République qui ne reconnait plus ses lois?

un rénégat ?

un félon ?

un parjure?

et comment appelle t'on un journal qui oublie de rappeler les prises de position de l'opposition municipale, pourtant parues dans ses propores colonnes ?

un journal inféodé ?

un ennemi du pluralisme?

un républicain lett ?

Céleste Lett, un député-maire entre sédition et discrimination.

Comments

[Jérôme Turquey]

Pour l’anecdote Didiot, qui est contre Lett sur le projet Hambrégie, était grimpé au cocotier en octobre 2012 contre la sous préfète 
dans un courrier publié sur le site de l’ADPSE: http://www.adpse.fr/wp-content/uploads/2012/10/2012_10_22_Courrier_PJD_Prefet_projet_d_ecologie_etat.pdf


« Nous nous interrogeons sur la neutralité de l’Etat » a-t-il écrit.


C’est bien tout le problème. Les administration ne respectent pas et ne font pas respecter la loi et les règlements dans leur domaine de
compétence.


Pire, l’article 40 al.2 du Code de procédure pénale, qui dispose que « Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire
qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous
les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs » n’est pas respecté. Il est pourtant écrit au présent de l’indicatif ayant en droit valeur d’impératif, ne pose d’ailleurs
aucune restriction sur la compétence et ne laisse à l’administration aucune marge d’appréciation de l’opportunité laissée au seul Procureur de la République à l’article 40-1. C'est une question
au cœur des affaires actuelles : Cahuzac, Tapie...


« Les institutions sont notre bien commun le plus précieux. Elles sont la garantie que la société est régie par le Droit qui protège le
faible contre le fort ou le puissant », a écrit la ministre Taubira dans un communiqué de presse sur l’indépendance du Conseil
constitutionnel.


Les administrations font partie des institutions mais ne respectent pas le droit et ne le font pas respecter.


C’est l’objet d’une lettre ouverte à la ministre Taubira avec la légitimité de mon expérience:


http://qualitiges.org/les-institutions-sont-la-garantie-que-la-societe-est-regie-par-le-droit-qui-protege-le-faible-contre-le-fort-ou-le-puissant/

[Jérôme Turquey]

Quelques principes de management et gouvernance
appliqués aux maires en général et à Didiot et Lett en particulier.  Je le dit d'autant plus facilement que je suis plutôt électeur « de
droite » (même si Didiot refuse d’appellation « de droite ») mais exigeant, et non pas le militant limité qui voterait pour une chèvre ayant l’investiture de son camp (d’où les
réélections d’élus condamnés par exemple pour corruption).


 


1) On ne
ment pas sur quelque chose de facile à vérifier


Par exemple, présenter comme l'a fait Lett deux
simples médecins du travail en "experts toxicologues" pour Hambregie n'a pas résisté à ma recherche sur le site du Conseil de l'ordre.


 


2) Qui est
légitime dans ses actions ne va pas recourir à des stratagèmes et impostures


Il n’y avait aucun problème à solliciter deux
médecins du travail présentés comme tels en ajoutant le cas échéant qu’ils sont  sensibilisés aux questions des pollutions, et extérieurs au secteur
de Sarreguemines. En revanche le recours tapageur aux « experts toxicologues » par Lett s’avère rédhibitoire et entache toute bonne foi.


 


3) Si l'on
ment il faut avoir une bonne mémoire


Dans notre société des médias, il reste des traces
de tout (écrits, vidéos, audio…) et peut être rappelé pour mettre en exergue le mensonge ou la posture de celui qui grimpe au cocotier sans avoir les fesses propres.


 


4) Il faut
savoir reconnaitre ses erreurs


La centrale Hambregie pour Lett et de la morgue
pour Sarralbe sont assez parallèles car c’est leur « danseuse ».


Il y a eu un comportement similaire (pour Sarralbe
voir : http://www.sarralbe.net/presse1/presse1.htmet http://www.sarralbe.net/presse2/presse2.htmet pour Sarreguemines voir plusieurs articles le site de l’ADPSE :
www.adpse.fr )

[Jérôme Turquey]

Pour apporter une précision à ceux qui s'interrogent et alors qu'il y a depuis hier des attaques sans précédent contre le Conseil Constitutionnel, je suis un ardent défenseur de la primauté du
droit (et de la morale qui il est vrai ne se recoupent pas toujours) sur la force et/ou la mauvaise foi.


C'est la raison pour laquelle en 2009 je suis intervenu dans le dossier Hambregie pour contribuer auprès du commissaire enquêteur et c'est moi qui ai détecté l'anomalie des deux "experts
toxicologues" en réalité médecins du travail.


La gauche pour sarreguemines a traité du sujet (http://la-gauche-pour-sarreguemines.over-blog.com/article-35410686.html).


En temps de crise le citoyen ne peut plus accepter les élus de droite ou de gauche et plus largement ceux détenteurs d'une autorité qui se croient au dessus des lois et réglements.


Le conflit Lett-Didiot est aussi nul politiquement que le conflit Grosdidier-Masson pour rester en Moselle et n fait pas avancer positivement la situation des entreprises et des salariés. Je les
renvoie dos à dos et relève simplement qu'un maire en tant que représentant de la loi à des devoirs auxquels il ne peut se soustraire dans le cadre de son mandat mais aussi en dehors, notamment
comme représentant légal d'association(s) comme le sont beaucoup de maires.


 

[René Basset]

Tout cela mériterait d'être précisé ... ou alors il manque quelque chose ! Car, en l'état, j'ai du mal à saisir.

[Albert]

Quelqu'un peut faire une explication de texte?????

[Jérôme Turquey]

(Suite)


En conclusion, en expert en management et gouvernance, je constate que Pierre-Jean Didiot a montré dans ce dossier un refus délibéré d’appliquer
la loi, un manque de discernement et une propension à se faire facilement influencer par des assertions trompeuses faciles à vérifier de personnes placées juridiquement sous son contrôle.
Il apparaît de manière navrante comme un dirigeant n’ayant aucune autorité sur des subordonnés déloyaux et l’on peut s’interroger sur ses
aptitudes à diriger.


Il apparaît de manière navrante comme un dirigeant n’ayant aucune conscience dans tous les sens du terme.


Il n’est pas possible que ses
carences apparues dans ce dossier ne se vérifient pas dans son mandat de maire.


Gageons qu’il ne démissionnera pas mais tout cela est incompatible avec son statut de représentant de la loi dont on attend une exemplarité.


« Dynamisme et confiance »  qu’il disait.


Plutôt « Inerties et méfiance »…


Je dis à l’électeur (direct, ou indirect si sa liste gagne au moment d’élire le maire) à quelques mois des élections :caveat emptor


S'agissant des médias, on peut penser à la phrase du journaliste Jean-François KAHN : on lèche, on lache puis on lynche... 

[Jean Mayer]

on a passé le début, on v passe la suite


mais après on arrête !


 


Jerome Turquey a à l'evidence un contentieux avec Pierre-Jean Didiot dont nous ne connaissons rien.la Gauche pour Sarreguemines n'est proche ni de l'un , ni
de l'autre  à quelque titre que ce soit. Donc qu'ils se débrouillent entre eux, par voie judicaire s'ils le souhaitent.

[Jérôme Turquey]

La posture de donneur de leçons de Pierre Jean Didiot dans le Républicain Lorrain m’oblige à réagir alors que je viens de transmettre
à la Chancellerie un dossier qui le concerne parmi d'autres.


Il dit


 « Celui qui ne veut pas appliquer la loi doit démissionner »


« Nous ne sommes pas dans une République bananière »


Quand on prend une telle posture morale il faut avoir les fesses propres.


Celui qui a mené aux dernières Municipales la liste « « dynamisme et confiance » déclarait sur Mosaik  sur un projet local :
« On a à faire à un exercice de communication qui frise d’ailleurs la manipulation (…) Mais de qui se moque-t-on ? Je crois qu’en tant que journaliste ou en tant que responsable politique
local on a un devoir de vérité par rapport à nos concitoyens » (TV Mosaik, 8 mars 2011) ne m’en voudra pas d’éclairer les citoyens à son sujet.


Je m’exprime en tant que partie prenante devenu aujourd’hui dirigeant qui trouve insupportable les élus donneurs de leçons et ses pairs qui
dévoient le pouvoir hiérarchique et disciplinaire à une période où l’on parle de moralisation de la vie publique et des entreprises.


 


Je porte ce regard alors qu’il y a eu changement
de paradigme de la société française visible notamment dans des affaires récentes exacerbées par la crise qui fait que la magouille ne passe plus :



L’affaire Sciences Po Paris suite au rapport de la Cour des Comptes rendu public le 22 novembre 2012 avec l’audition sévère par les députés de Messieurs
Casanova et Pebereau au sujet de la gestion du directeur décédé;


Le conflit à l’UMP, dans laquelle une posture ouvertement morale soutenue par le député Lett, qui a rejoint le groupe Rassemblement UMP de François Fillon,
veut s’opposer à la culture des « petits arrangements » pour utiliser un euphémisme (« Un parti n'est pas une mafia » dira François Fillon le 23 novembre 2012) ;


Le dossier Tapie et ce que l'on découvre des turpitudes de l'administration et de l'Etat ;


Le dossier Cahuzac et ce que l'on découvre des turpitudes de l'administration et de l'Etat ;


...



 


 


Pierre-Jean Didiot, maire de Sarralbe et à ce titre représentant de la loi dans la commune, est président d’un Conseil d'Administration, et
donc représentant légal, d’une association gérant un établissement avec des salariés. Il en est dirigeant de droit principal.


Il a été alerté à plusieurs reprises du non respect de la loi par la direction salariée de cet établissement et a choisi de soutenir
sciemment du « trash management » : Ce concept de trash management a été défini dans le livre Les Managers de la Peur écrit par Marion Sciarli (Editions
Kawa, 26 mai 2011)). TRASH: au sens littéral : ordures.  Au sens figuré : «  this is TRASH »
 = « ça ne vaut  rien ».  LE TRASH Management  est un Management  «  ordurier  »,  un ensemble de techniques d’organisation et de gestion parfaitement ineptes, un Management qui ne vaut pas un
clou.


Il a été alerté à plusieurs reprises de risques de management et gouvernance qui ont été avérés.


Il a manqué aux devoirs de son mandat de manière persistante et sans remords, par ses actions et ses omissions rédhibitoires, qui ont entraîné
de manière non exhaustive :


un délit d’entrave,


un accident du travail provoqué sciemment par la direction (que la direction a refusé de déclarer alors que la déclaration était une
obligation) avec 13 mois d’arrêt de travail,


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